Sa Possession, Son Évasion
e. Mes mains étaient attachées derrière mon dos, la corde rugu
là où il avait raclé le sol.
ait Chloé. Elle avait l'air terrifiée, mais quand elle a cr
enché sur moi. « Alix Valois, » a-t-il dit, sa voix un gro
. Tout était un coup monté. Chloé n'était p
lumé. C'était ma photo de mariage. Celle de la cave, main
gémissement pathétique. « Laissez-moi partir. Je suis l'am
le toit en tôle de l'entrepôt, le
oé, un sourire méchant sur son visage
portes de l'entrepôt se sont ouvertes violemment. Une
Jeanne Z
t l'a giflé violemment. « Idiot, » a-t-ell
et a couru vers Jeanne. « Jeanne, Die
ous êtes de mèche, » ai-j
une haine profonde et glaçante. « Bien sûr. Elle v
rugueuses coupant plus profondément dan
rire cruel. « Pas encore. Je vais te faire regarder Bastie
is elle a sorti son téléphone et nous a filmées, moi attachée et bâill
les lourdes portes se
bruit d'un moteur puissant à l'extérieur.
aleine fétide m'inondant le visage. «
rdait autrefois. *Je te choisirai toujours, Alix.* Une promesse d'une autre vie
, son costume trempé, son visage un masque de fureur. Ses yeux m'ont tr
partir, » a-
à la gorge de Chloé. Un autre homme a fait de même ave
omme des éclats de glace. « J
de Chloé, traçant une fine ligne rouge. Il a fait de même avec
'est crispée. J'ai vu l'
bâillon de sa bouche. « Bastien ! » a-t-elle crié. « C'était