LIÉE AU MAUVAIS ALPHA
tiges d'u
mme un baume. Sans cela, je doute que ma forme humaine aurait tenu jusqu'au matin. Ma louve, silencieuse depuis la veille, ne donnait plus signe de vie. Mais comment lui
t, c'était
ccepté de tou
sincère. Elle méritait de sourire, de rêver. Il fallait que je trouve un mo
j'entrai dans l'eau jusqu'à m'y immerger tout entière. L'onde m'enveloppa comme un linceul, lava
rsque ma mère, accablée, avait sombré dans l'alcool et les dettes, j'avais dû faire des choix impossibles pour garder notre foyer debout
et si", toutes les versions d'un f
ais plus légère, je me mi
'intérieur. Ils étaient déjà là. J'attrapai mes vêtements abandonnés sur la pelouse, m'habillai à la
ante, entêtante. J'avais prié pour qu'elle disparaisse après notre séparation. Peine perdue
regard fixé sur le salon. Théo s'y trouvait, seul, assis comme une ombre silencieuse. Ma mè
ais je tins bon. Mon souffle trahit brièvement mon trouble, mais je gardai la tête haute. Encore quelqu
ça joyeusement Kylee,
n sourire. Elle m'enlaça sans hésiter, et je la serrai à
mpée... Tu
ade nocturne », la
ins un
rien de plus »
? » cracha-t-e
que pourrais-tu bien savoir ? J'avalai
us d'y aller », dis-je à Kylee a
petite sœur. La voir p
manquer »,
t, promis », dit-el
t'a
i au
ma mère. Malgré son hostili
s soin
rès de la porte. «
referma dans un claquement
peuse, vide e
tes, implorant la déesse de m'épargner un instant. Qu
ce. Je restai là, immobile, jus
passe ? » murmura une voix
e
collée à mon visage,
s-mo
i lenteme
-je avec une amertume grinçante. « E
transforma. Une colère s
ul à tout savoir. Pourquoi n'était-ce pas lu
leva san
u restes a
déesse m'offrait peut-
r le siège passager, puis courut chercher un sac. Que
e laissa m'effondrer sur le grand canapé en cuir. Tant de souvenirs y étaient ancrés. Des nuits à refai
ns sa poche. Il consu
t que je réponde.
et enroulai mes bras autour de mes genoux. Les larmes, silencieuses, commencè
se releve
Personne ne m'avait vue pleurer depuis la
bras, et je me laissai aller contre lui. C'ét
mon ordinateur
. Mais laisse tombe
i pour fouill
voie mes chapitres
sa, me prena
t'ensevelir sous des mots pour échapper à ce que tu ressens. T
yeux. Ce n'étai
e pourrais survivre à son rejet. Mais pas
en », dit-il, les
eff
mot. L'écart d'âge, son attitude... il la supportait à
profonde i
reviendront. Ce lien ne pourra pas t'ef
flai. «
ha, effleur
lui. Je suis là, moi. Et
qué ses sentiments, mais nous avions to
, Ayla. On n'a pl
pourrais encore tro
ai vu le monde. Si elle exis
, il m'
s au baiser, affamée de chaleur, de réconfort. Mais alors, un gron
usquement. Ma poi
Le lien est toujours l
rit con
e. Mais je veux que tu restes ici. Ne
la tête c
acco