Ma rivale, mon seul espoir
ls pensaient que c'était un autre
, » je les imaginais se dir
t où nous allions quand nous étions enfants. Équitation, air frais. I
e dit sèchement qu
sourires vifs et insistants. Ils n'acceptaient pas un non comme réponse. Il
ée. Puis je me suis souvenue pourquoi nous étions là. Ce n'était pas pour moi. C'était pour eux. Pour me gérer. Dans ma vie passée, c'est l
e. J'ai marché vers un enclos éloigné, espérant être seule avec les chevau
que le cha
fous, leurs yeux roulant de terreur. Quelqu'un avait laissé la barrière ouverte. Ils se sont précipités dehors en déban
je n'étais pas assez rapide. Un énorme étalon alezan m'a per
'air. J'ai atterri lourdem
un craqueme
Elle éta
ercée. J'ai essayé de ramper, de me traîner e
a tête, me manquant de quelques centimètres. Puis, un sabot s'est aba
ain d'être pi
e les ai vus. Alaric, Darius et Geoffrey. Ils se tenaient sur le porche, rega
ent vides, dépourv
ssaient
m'évanouir, ce sont leurs trois silhou
avec ses griffes profondément enfoncées dans chaque partie de mon corps. Ma jambe était dans un plâtr
tait légèrement entrouve
dre, qui parla
nte de colère. « Une débandade ? Vous êtes fous ? Je voula
n a juste tiré avec un pistolet de starter pour effrayer un peu l
ir rejetés, » a ajouté Darius. « Pour lui montr
» a claqué Alexandre. « En quoi ça m'aide ? La famille Lefèvre
t pas un accident. C'était prév
iétiner à mort parce que j'avais blessé leur ego. La cruauté désinvolte de la c
arée à l'agonie de mon âme. Je me noyais de
yeux, feignant de dormir alors que la porte s'ouvrait. La douleur était si intense, si é
ence était un soulagement bienvenu. Mon téléphone était s
s. C'était un accident monstre.
mal. On aurait dû te s
besoin, demande-le.
douleur était toujours là, un rappel constant et lancinant de leur trahison. Ma
oulais guérir, pas seulement mes os brisés, mais
s ne me laisserai
je commençais à me sentir un peu p
it Is