Les pleurs de mon enfant

rs de mo

rt

Les écri

t quatre heures que ses parents n’avaient aucune nouvelles

ous le regard des inconnus. Elle avait tout

dormait dehors dans le chaud ou le froid. Elle était de plus en plus

bonjou

: bonjour

remarqué. Awa avait de la poussière partout, el

ient t’asseoir je vai

merc

avait raconté sa situation actuelle. La femme était tellement touchée

part où aller et

n et soir pour tout pré

logé chez elle

qu’à ce qu’une scène cause le

matelas dans la cuisine de la vendeuse. Cett

le noir, il avait bondi sur

u fais

: chut

ue mal mais il était plus fort qu’elle. Il avait déchiré son t-shirt et commençait à l

: à

couru jusqu’à la cuisine. Elle alluma et était en colère. Awa n’avait pas r

Malheureusement elle ne faisait pas

t renversé l’avait con

étez pas monsieur elle

merci b

ssion et était au téléphone avec sa femme quand il renversa Awa. Il vit avec sa femme dans une grande ma

main à s

où sui

le ne vous inquiétez pas tout v

fait passer tous le

elle pourra s

Seri

s de la jeune fille. Son bébé v

ité pour discuter avec

isais-tu à une telle

t une long

: tes parent

e n’en

En soirée, Awa était sorti de l’hôpital.

t. Tous tes médicaments j’ai acheté. Et pour ta santé

merci

i : je te

ai nulle pa

va t’héberger le temp

merci

eur de la maison. Madame Seri l’avait traité sans

: tu t’appel

:

isais quoi dans la

la maison d’une dame qui m’h

mais tu vis

je n’ai plus de maison et p

êtes une sans abri avec

prête à tout

eri je vis dans cette maison a

est belle et grande

la plupart du temps je suis seule. Je peux te prop

ccepte vo

n va te cherche

g. Au soir, Awa avait fait à

dé de garder Awa ici elle m’a

mais pourquoi ? elle

i : non el

s mon accor

eri : me

e nouvelle qui

je n’aime pas

man sera

lança un ma

is elle v

le va apporter u

userai c’est

tif. Sa belle-mère la détestait car elle voulait des petits enfants. Celle-ci avait proposé à s

e lendemain, la mère de Seri ét

bonjo

: bonjour

’approche pas de moi

: m

Je suis une maman meurtrie donc je va

ns de cette journée.

au salon avec lui. Sa femme était restée à la

dame j’a

isser cette quantité sa mère

: d’

x m’appeler Marie-Lo

is finir pa

Awa avait servi

qui est cette

a aider Louise pour

e fait d’abord quoi

as con

nt bon on sent une fille qu

ien. Elle n’était pas jalouse mais mal car elle

Su

crits