Les pleurs de mon enfant

rs de mo

rt

Les écri

’ai à te dire

parle s’i

s la dernière fois q

a : ç

ctement un mois.

tu revien

es malade

ça fait

bref je n’ai

e fort je n’e

ceci, je n’ai

: règle

bête ou tu

onc tu es

sure

me fais peur. Tu

première fois

a une premiè

se Moussa. J’attends

n’est pas

: qu

entendu. Je suis tro

t’ai donné ce que je devais off

une erreur en plu

erles comme ç

. Si tu veux garder cet enfant,

l est d

ait où tu écar

le

n’es qu

tu gifl

as été le premier et le seul. Aujourd’hui

parler de toi pauvre fille. Tes parents et toi vous êtes des

ur Moussa. N’oublie jamais

ieurement, elle était meurtrie. Elle n’arrivait pas à croire. Elle

e regrettait rien de

de cela quelques jours, elle était la plus heureuse du monde. Maintenant, que vont penser les autres. S

mencement. Son monde av

ara le diner avec

ille j’aime quand

merc

ille. Tout comme ta grande sœur

lisait de p

rs tu as de se

nd j’étais au marché. Elle m’a

e m’avait dit

enti qu’elle est heureuse.

merc

passe-moi

an je vai

agir comme ça. Sans savoir ce qui allait

llement à son image. Sa mère qui l’avait toujours soutenu

LLE FAMILL

vos prénoms ? J’ai remarqué qu’a

usé lui av

c’est

me fait rigol

: pour

ma vie, on m’a f

mois, j’ai observé tes comportement

ton c’est lui qui avait choisi mon prénom à ma naissance. Il aidait tell

parles de l

e hommage, mes parents avaient décidé de donner

c’est

a ce que je raconte à toutes les

tu n’auras plus

I

fléchi aux préno

. D’ailleurs tu veux

veux rempli

tu es vrai

i :

n’ai jamais vraiment été pour les mariages

ore moins, il l

était prête à garder son enfant et à annonc

trouvait tout genre d’excuse pour que sa m

tre cachée à vie. Un jour sa

Awa, avait

, en se précipi

heté ce paquet de serviettes

ire c’est qu’elle n

e : ma

e n’est pas c

? En criant. Son père

s entend dehors.

don, en tapant

avait

: Awa po

a quoi ici je n

it qu’il agirait de la pire des façons possible. Ma

quoi ? Je ne va

leura

, elle suffoq

io :

: je

je vais te

nte, d’une

io :

le tu me fais ça, m

é une gifle et sa

me :

toi, tu

uvait plus

ce qu’on t’app

urait t

maintenant qui va t’épouser

l n’a p

i tu veux rester dans cette maison,

imatum il fallait qu’

t et ça sera mieux. On doit te

de question qu’elle enlève cet enfan

normément de tension elle était privée de tellement de choses. Elle était devenue

t quatre heures que ses parents n’avaient aucune nouvelles

us le regard des inconnus. Elle avait tout

Su

crits