SURVIVAL : l'héritier du chaos

PIT

SURPRISE,

. J'eus l'envie de la lui balancer sur sa tête ; seulement vu que j'avais d'autres choses qui me tracassait, je n'en fis rien. Quand j'arrivai près de chez marc il faisait presque jour, je regar

tite voix. J'en conclus qu

de te réveiller, faut que

l'heure

, mais c'

vas-y

ouvrant

de la même famille sinon je ne t'au… how, que t'est-il

morts, il

; qui es

ait là, sa brillait, des cr

avoir pris une drogue puissante pour être dans

tu te moques de moi

, mais que c'était ses choses qui avaient tués mes amis. Et je lui racontai tous ce qui c'était passé, il finit par me prendre au sérieux. Ensuite je lu

qu'il y a un

nse que

caméra qu'il y avait dans la salle où, se trouvait le bureau de Samant

de COMIER et là c'est quand COMIER est parti. Ok,

! Et en plus elle est resté longtemps

ne longue

einard. Et tu ne me fait pas

oua

'est passé ! Alors ra

à régler, et toi c'est

mais en m

est partie. ” Quelqu

aissance et... Samantha ! Elle était revenue, moi qui

ouillée le bureau et moi qui croyais que c'était Ludovic. Je donnai à Marc comme conseil de ne pas allé travailler, il me dit qu'il ne pouvait pas, sinon il risque

la porte de mon appartement je vis quelqu'un y sortir, je lui demandai ce qu'il faisait chez moi, et cette personne me répondi

? Il y a cette personne qu

lui dit : “ – Ça va Greg ? ” Et me reg

qui êtes

vre qui disait qu'il ne fallait pas me faire ça ! Et qu'ils lui avaient poser des questions à mon sujet, car ils savaient pour mon licenciement, qu'il pensait qu'ils me soupçonnaient. Mais qu'il n'avait rien dit et qu'il ne pouvait guère me garantir que d'autres n'auraient pas fait autant. Il me dit aussi de faire attention à moi et raccrocha. Choqué par ce que je venais d'apprendre, je décidai d'aller voir Samantha ; car elle avait des explications à me donner. Bien évidemment, elle n'était pas encore rentré donc je guettais son arrivé dans un café non loin de chez elle. Avec la folle soirée que j'avais passé, je finis par m'assoupir un peu et je retombai dans mon rêve récurrent. Le grand hall, la belle brune, nos regards qui se croisent, notre attirance et au moment où je commence à aller vers elle ; je fus révei

is des exp

ions, mais de

innocente avec m

quoi exa

c'est toi qui a fo

de l'ascenseur elle me glissa dans l'oreille qu'elle était heureuse de me voir, elle ouvrit la porte et nous entrâmes. Une fois à l'intérieur, elle me proposa un verre. Que je refusai bien sûr et la rappelai que je n'étais pas venu po

! Et elle me dit que COMIER recherchait quelqu'un

ommen

ile à faire vu qu'on fricote déjà ensemble. c'est mot pour mot ce qu'il m'a dit, je lui ai demandé pourquoi je ferai ça ? et qu'est-ce qui se passerais si tu respirait cette odeur. Il me répondit que tu mourras. Puis il rigola et me dit

? plutôt qu'est-ce qu'il me vou

toi qui

un assassin. Mais tu est reve

étais mort. J'ai appelé COMIER pour lui dire et il me répondis est-ce que j'étais sûr,

. Pourquoi le bureau ét

res eux me faisait vraiment très peur. Ils m'ont demandés de cherc

encore avec toi,

Ou

qui les

e sais

les revo

’ils prendraient contacte avec moi

vas

isser, j'ai

excuse

dans mes pensées quand j'entendis un cri suivie d'un bruit de porte défoncé, des verres se brisés et des : “ – Police on ne bouge plus, à terre. ” Chose que je fus san

allèrent fouiller le reste de l'appartement, quelques minutes après j'entendis

el hor

t vers moi e

ng, un bras et des morceaux de

le c

avec elle, il n'y a mê

répliqu

avez tuée, sois elle

m'embar