L'Amour Fou : Une Dette Mortelle

is là

ui recouvre mes os, et une douleur plus profonde que la mort elle-même me transperce. Ce n'est pas la douleur de mes os brisés ou de ma ch

Je me rappelle les jours où je lui glissais des restes par la clôture, un morceau de pain, une soupe chaude. Il ne me demandait rien, mais ses

le fin

Elle était venue me voir sur le balcon de cette villa, où tu m'avais exilée.

empoisonné. "Marc ne m'aime plus. Il parle tout

a rassurer. Et c'est là qu'elle a frappé. Son visage a changé, la

amais quand tu seras m

e m'a

pierre de la terrasse a été assourdissant. Je n'ai plus senti mes jambes. La douleur était une vague de feu blanc, puis plus r

as venue assez

s vêtements. J'étais paralysée, incapable de bouger, de crier, de me défendre. Je n'étais qu'un objet pour leur cruauté. Ils m'o

ose brisée, couverte de sang, de terr

loé, sa voix calme, presque joyeuse. "J

e pouvais sentir l'odeur de la terre humide, sentir les vers sur ma peau. J'étais viv

à mon fils, Louis. Mon petit garçon. Je ne pourrais plus jamais le se

fusé de partir. Mon ressentiment était trop lourd, ma peine trop profonde. Je suis devenue un f

oir pu dire au revoir à Louis. De ne pas avoir pu lui dire une dernière fois combien je l'

là pour prendre la dernière chose que je possède, un morceau de mon corps, pour la fem