Jeanne, Ma Pénitence Éternelle
'est pas
que, un son bestial. Il a secoué mon c
le-toi ! Je t'int
avait pas
eveux blancs que Marc avait fait venir e
calmez-vous. Il n'y a
orps, son visage devenan
Dieu
mur
qui s'est
rc, ses yeux remplis de
es n'ont jamais été soignées correctement. Et cette cicatrice sur sa poitrine...
t un coup de po
s, puis a attrapé le
que vous lui
e déformé par la rag
ue c'était une simpl
tremblant de p
a tout planifié ! Elle m'a dit de le faire ! Elle a di
jeté cont
nteu
orps de Chloé, son visage
rmée. Il croyait toujours qu'il avait agi pour me "sauver", q
as que le vrai mon
la scène. Je regardais tout cela avec une di
. La haine aussi. Il ne
'homme qui avait détruit ma v
a parlé dan
évesque pour Jeanne Duboi
che m'a enveloppée, et
ôpital. Pas dans la villa, mais dans
septique flott
t les miennes. J'ai bougé mes jambes
nde d'origine, avant d'être transpor
ouveau parlé, sa
a eu un coût. Votre corps a subi un traumatisme sympathiq
s sentir une faiblesse, une fatigu
dans mon esprit. C'était une vision du
était h
'avais été emprisonnée. Mais ce n'était plus la Chloé radieuse q
l. Le même scalpel qu
ue le "don" de l'écriture a
système é
de la dépecer, morceau par morceau, espérant
a pure folie. Une folie née de
image es
ils,
mort, les yeux grands ouverts de terreur. Une seringue
ge d'enfant dépourvu de toute expression
ppé un attachement prof
ème a c
t du mal doivent mourir. Son amour pour
m'a posé un
Marc Lévesque et Paul Lévesque vous attendent. Ils
our
r dans c
tait une possession, une folie, une ma
No
t à hau
ama
plus le mien. Je vo