Manon, Mon Double Maléfique
venirs. Des étagères remplies de livres qu'il n'avait jamais lus, un bureau en bois massif
sanglotant doucement dans un mouchoir. C'était une scène qu'elle avait répétée d
-dessus ses lunettes, son visag
le Dubois, a
mot, m'asseyant sur la chaise à côté de Manon, qui
a commencé Dupont. « Elle m'a dit que vous l'aviez humiliée p
'elle portait des contrefaçon
Manon ont redo
out le monde... » a-t-elle gémi. « Juste p
un soupir théâtral destiné
omprendre. Manon est une de nos étudiantes les plus méritantes. Elle est ici grâce à
ause, me fixant
ces soucis. Un peu de compassion, de gentillesse, ne serait pas de trop
ndu tant de fois. La pauvre petite boursière contre la méchante riche. L'i
n sac. J'ai cherché un numéro dans mes contacts et j'ai appuyé su
ô, Pa
t posée, a répondu. « Jeanne
nçait à changer. « J'ai juste une petite question. Concernant le don que tu envisageais de faire à l'
les gros donateurs potentiels, mais mon nom de famille, Dubois, était courant. Mes
l d'administration doit justement voter là-dessus la semain
n certain Monsieur Dupont. Il semble penser que ma présence ici est un problème. Je me demandais si, peut-être, no
é de pleurer, ses yeux grands ouverts fixés sur moi.
sonné. La sonnerie stridente a brisé la te
le de Monsieur Dubois ? Le... le donateur ? Non, non, bien sûr que non... C'ét
mme s'il me voyait pour la première fois. La supérior
Je... je suis profondément confus. Je ne sa
diatement changé de visage. Elle s'est levée et s
ielleuse. « J'ai dû mal interpréter tes paroles. J'étais juste
ma main de son contact co
Dupont. « Je ne veux plus jamais partager ma chambre avec c
ademoiselle Dubois
ant sur Manon dont le visage se décomposait. « Nous
s le silence de leur propre hypocrisie. J'avais gagné la première bataille. Mais la guerre était loin d'ê
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