Nouvelles saisons suivi de les heures virales
mille
sa grand-mère était devenue sa résidence principale depuis trois ans. Elle était construite à un kilomètre du bourg, au sommet d'un petit tertre boisé au carrefour de deux routes communales. Cette
nirs en commun et nous trouvâmes tout de suite une proximité rassurante. Instinctivement, nous savions quand nous rapprocher ou nous éloigner l'une de l'autre. Quand ou non partager des moments ou des activités. Les tâches ménagères, les courses, l'occupation de l'espace, tout fonc
, elle rentra comme une furie à la maison. Elle entreprit de me raconter son histoire avec celui pour lequel elle déversait tout ce qu'elle pou
la ferme familiale issue du même héritage et située un peu plus haut sur le coteau. J'y accompagnais parfois Mathilde, très proche de son frère, mais aus
e des Laforgue. Les deux familles étai
e que je passerai chercher une salade chez François après être allée acheter le pain au bourg. Je ne lui cac
rti à Limoges pour le compte de la mairie. Il éta
lées pour une pause-café quand j'abord
pas dit que vous av
oit en être
à cette réaction. Mais elle
Ou
e t'e
s j'ai bes
'a racon
t, je
ois... François et moi avons deviné qu'il y avait eu quelque chose entre Mathilde et Antoine après le décès de Marthe. François, tout particulièrement, s'est fait, se fait toujours beaucoup de souci pour Mathilde. Je suis plus
a quelque temps, il nous a annoncé qu'il avait loué, pour trois mois, le gîte touristique qu'éta
savez ce qu'il
pas prendre une décision trop hâtive. La location est une bonne solution. Il vient souvent chez nous. Il nous a aussi invités à l'apéro, hier à midi. Cela fait bien longtemps qu'il ne s'est autant confié. Mais Mathilde n'a pas encore été évoquée. J'avoue que m
rencontrer maintenant. On s'a
a maison avant qu'Antoine Berthier n'entre. Nous nous saluâ
mon entretien avec sa belle-sœur et lui avait téléphoné vers treize heures trente. Soucieu
sonne ne demanda à Mathilde de raconter l'histoire dans les détails, just