Nouvelles saisons suivi de les heures virales
étaient carrément pas quittés les quelques jours qui suivirent l'enterrement de Marthe. Pui
s que l'on pouvait lui annoncer. Et il ne parlait jamais de toi alors que vous ne vous étiez pratiquement pas quittés pendant les trois jours qui ont suivi l'enterrement de Mémma. C'était suspect tout
que cela finirait par arriver. Je n'en étais pas moins anéantie et folle de colère. Je vous passe les détails. Je l'ai laissé partir sans esclandre et lui ai fait promettre de ne plus se tr
le savait. La plupart du temps, il venait seul quelques j
e inte
mps. On ne peut s'étonner de rien. On comprend très bien que vous nou
L'affaire se résumera peut-être à ça : la libération de la parole concernant cet épisode dont nous avions fait un tabou... Et puis maintenant, j'a
trée à l'église où elle mettait un cierge à brûler. C'est là qu'un jour elle avait fait la connaissance du vieil homme. Par beau temps, ils se retrouvaient sur un banc de la place. Michèle, qui était, elle, très engagée dans la vie paroissiale, participait par
rales. Soulagés,
uite se préparer à une rencontre éventuelle. Je suis d
dire que ma présence a peut-êt
té là pour m'écouter. Je ne me suis m
rt de Michèle et François. C'est alors
e faire une idée personnelle de ma cohabitation avec sa mère. Quelques coups de fil plus tard, tout était organisé. Les deux fillettes occuperaient chez Mathilde la seule cha
une grande tablée familiale à laquelle seraient invités les enfants et petits-enfants de M
tion du ruisseau où « personne ne vient plus taquiner le poisson », Mathilde s'éclipsa que
mais sur nos
s d'hiver, où l
iens j
se-moi
n'y continueront pl
pour
t cinq ans. Christophe, l'aîné était décédé deux ans plus tôt. Christine, la fille, avait comme sa mère embrassé la carrière de professeur des écoles. Pacsée avec Louis, enseignant lui aussi. Ils exerçaient leur profession dans
de, ce qui n'avait jamais été le cas pour les grands rassemblements précédents. Il était hors de question de leur e
paratifs. Avec la canicule qui sévissait, il devait se ten
oir. Les Parisiens avaient souffert de la chaleur sur la route. Mais les fillettes firent une petite java avant
regret de ne pas avoir moi-même d'enfant ne trouva pas là l'occa
s filles de Cécile voulurent passer par les stabulations de Romain. Et les garçons étaient fiers de faire les guides. On regretta l'absence de César, le fils de Marianne. Je passais moi la journée avec le reste
et soupiraux. La soirée fut vive et chaleureuse autour d'un imposant buffet. J'étais un peu désorient
és de partir pour Biarritz. Petits tours par le cimetière, l'église et le café. Courte
-être aussi un peu f
cils. Discrètement cependant ; du genre :
jamais d'un regard sévère
'après-midi. On prit le temps pour