Mon Épouse, Mon Ennemi Juré
e rage. « Tu m'empoisonnes dans ma propre maiso
la salle de bain. La peur avait dis
s monstres. De
e. Antoine est entré, un sourire arrogant aux lèvres. Il avait dû a
s qui prennent ce qu'ils veulent. C'est la lo
t à côté de Sophie. Ils form
. Fais-le dignement », a-t-il ajouté ave
ès ce que vous av
rer mon téléphone et mon portefeuille sur la
crois pa
ctuel fluet s'est révélé être incroyablement fort et rapide. Il a attrapé mon bras, l'a t
e et je me suis étalé de tout mon long sur le tapis du salon. Ma tête a heurté le coin de
sa voix manquait de conviction. Il y av
était faible à cause du poison et maintenant de la douleur. Antoine s'est a
ujours. Tu es faible. Tu as toujours été fa
ne, m'empêchant de respirer. Je suf
t-il dit, sa voix devenue un murmure menaçant. « Fais-le, et on te laissera tra
rage se sont mélangées dans ma gorge. Avec le peu
ession s'est durcie. Il a levé la main et m'a giflé. Une fo
petit i
omme si elle assistait à un spectacle fascinant. Il n'y av
battu. Il est allé vers Sophie et l'a prise dans ses b
rmuré assez fort pour que je l'entende. « I
dans ses cheveux, le re
on amour. Tu
et sur leur chemin. J'étais allongé sur le sol de mon propre appartement, empoiso
ahison et de cette humiliation était bien pire. J'ai senti les
leurerais pa
rètement vers la table où mon téléphone était tombé pendant la lutt
te vitesse. La police ? Ils diraient que c'est une dispute conjugale. Non. J'avais besoin de quelqu'u
t qu'une se
ai appuyé sur le bouton d'appel, esp
sœur. Mon