Larmes et paris d'une épouse
parence. C'était exactement le même décor qu'ils avaient dû présenter à Sophie la première fois. La mettre en confiance, lui faire croire que le risque était minime. Mais je savais que cette petite p
ardé mes cartes plusieurs fois, j'ai demandé à Chloé de répéter le monta
main médiocre et j'ai immédiatement jeté une poignée d
uante," ai-je annon
s figurants, se sont regardés et se sont couchés instantanémen
s ce que tu fais ? On j
. Si c'est trop pour
, son sourire mielle
nd. C'est sa première fois
ible que je n'ai pas manqué. Le message était clair : "On a
ienne, probablement. J'ai continué à miser agressivement. Il a continué à suivre, son sourire s'élargissant. Au mo
dit en poussant l
ose de plus précieux : leur certitude que j'étai
la partie. Je parlais fort, je riais quand je gagnais, je haussais les épaules quand je perdais. Je jouais le rôle du parfait amateur bruyant et prévisible. Sophie
sorti, me donnant un tirage très prometteur. J'ai checké, feignant l'hésitation. Marc a misé une somme conséquente, essayant de me faire
s bonne main lui aussi, comme un bre
chir longuement. J'ai soupi
jour de chance," ai-je dit avec
me restait environ trois cents euros. Marc n'a pa
ons voir t
quillé les yeux. Les deux figurants se sont penchés pour mieux voir. Le visage de Marc s'es
triomphant et naïf. "Je vous avais
de la suspicion. Un coup de chance, ça arrive. Deux, c'est possible. Mais une quinte flush qui bat sa grosse main, sortie