La Mariée Brisée, La Vengeance Servie
aut, le cœur battant à tou
t les particules de poussière qui dansaient dans l'air. C'était une chambre qu'elle co
dans la ferme de
. Elles étaient jeunes, calleuses à cause du travail acharné
lat et ferme. Pas de cicatrices. Pa
la fixait était le sien, mais plus jeune, celui de ses vingt ans. Ses yeux, cependant, contenai
r-là. Le jour de son ma
illirent avec la violence d'un raz-de-mar
ue à la famille Dupont. Le prix ? Quelques sacs de céréales et la pro
le se levait avant le soleil et se couchait bien après lui. Elle s'occupait des bê
e servante bon marché. Pour elle-même
l'idée de l'aimer. Il était son seul avenir possible, la seule porte de sortie de cette vie
ieilles recettes, apprenait les techniques traditionnelles françaises, rêvant du jour
de leur mariage
e dehors. Sophie Leclerc, sa nouvelle conquête, une fille du village bien plus jolie et plus c
cle, » avait sifflé Sophie, s
t murmuré Marc, lâcheme
sse sombre et humide. La trappe s'était refermée au-
ce que Madame Dupont, la mère de Marc, la trouve le lendemain matin. Le scandale avait éclaté. Mada
de Marc avait
s cette même cave. Pend
la trappe. Dix ans de solitude et de désespoir.
age voisin. Un homme brutal, un alcoolique dont l
hose. Il l'avait torturée, violée, battue. Elle était tombée enceinte trois fois. Trois petites filles. À c
rs petits cris, vite éto
nt tuée. Son dernier souffle avait été un mélange de soul
maintenant, ell
re, le jour de son mariage.
tre émotion, plus forte, plus br
pure et
e serait plus la victime naïve. Elle ne finirait
ait plus jama
e sur une chaise. Une robe qu'elle avait cousue elle
amer étira
r ne résoudrait rien. Marc
ger le cours des chos
ande salle où devait se tenir la réception. Les tables étaient nues. La ve
éparer la table elle-même.
celle brodée par la grand-mère de Marc, un trésor de famille. El
aque couvert était disposé avec une précision glaciale. C'était une table de f
arait pas un
parait pour