Mon Nom, Son Mensonge
isages des badauds passaient de la curiosité à l'indignation. Des téléphones portables étaient maintena
ncé un homme dans la foule
ne femme, me regardant avec pitié.
ar toutes les couleurs. Au lieu de s'effondrer, elle a ch
corps s'est mis à trembler. Elle a regar
elle me fait ? Elle veut nous détruire..
pas, se dirigeant dangereu
être ta femme, alors
de se poser en victime. Antoine, enfin sorti de sa torpeur, a paniqué. L'idé
non ! A
sur moi, plein de venin. Il me voyait comme la
e l'entrée de son immeuble. « Débarrasse
dirigés vers moi, leurs visages impassibles et menaçants. La sit
ise devant moi
pas ! Vous n'ave
oussée sans ménagement.
hommes qui obéissaient aux ordres d'un lâche. J'ai attrapé le seul objet à m
moi, le liquide se ba
ma voix tremblante mais détermin
ris par ma résistance. Antoine, voyant
vous attendez
ait un pas vers moi, j'ai fixé
te pour Paris. Quand mon père, le peintre de renom que tout le monde admire, et ma mère, la conservatrice respectée du Grand Palais, apprendront ce que tu
eur dans ses yeux. La peur non pas pour moi, mais
p tard. Il avait
de ma main, le verre se brisant sur le trottoir. Son autre main a saisi mon bras avec
leurs téléphones, à leur pitié et à leur horreur. J'étais à terre, humiliée, battue, sous les yeux de l'homme que j'avais aimé et de la fe