Renaissance d'une âme pure
Dubois pour son village. Sept ans que son nom était deven
t craché le nom de Jeanne avant de rendre son dernier souffle, ses
. Chaque matin, elle se réveillait dans ses draps de soie pour tousser u
e creusé par la peur et la disette, se tournaient vers le seul homme qui
aient-ils. « Purgez le mal à la source !
rit doucement la main de Marguerite, son visa
de violence. « Puisqu'elle te tourmente même après sa mort, je r
r demeure cossue, une bannière d'exorcisme brodée de fils d'or entre leurs mains tremblantes. Ils suiva
ément pour cette traîtresse, » siffla sa m
père, les yeux brillants. « La forcer à s'accoupler chaque jour, la laisser supplier
ne, qu'elle semblait plus profonde que
s plus tôt. C'était un lieu mort, silencieux, que même les oiseaux semblaient
écouvrirent les
ues au fil des ans étaient là. Agenouillées. Toutes tournées vers la tombe dans une posture d'adoration s
e macabre, une seule si
serrait contre sa poitrine la tablette funéraire gravée du nom « Jeanne ». Ses yeux,
ragile, s'éleva dans
s. Ma mère a déjà été
sa prise sur
n attendant que ju
La fillette, sa saleté, sa maigreur... il y avait
anne, eux, ne vir
hurla Madame Dubois en se
dans la vallée. La tête de l'enfant bascula, mais elle ne pleura pas. Elle se con
n enfant,
lui. L'âme de Jeanne, un fragment impuissant, observait la scène, incapable d'intervenir,
e enfa
ant sept longues années. Il regarda le père de Jeanne s'approcher, le poing levé, prêt à frapper