Adèle: L'Amour Brisé de Paris
e suite impersonnelle, luxueuse et froide. Je me suis assis
ma première vie. J'étais morte une fois, dans un accident de voiture banal dans mon monde d'o
mission : vivre la vie d'Adèle et assurer le succès de son mariage avec Marc Dubois. Si je réussissais, je
appris à aimer Marc, ou du moins, l'idée de l'amour que nous construisions. J'avais cr
on principale : Ma
ée : Cessation des
écution : 167 heures, 4
un écran de jeu vidéo. Sauf que ce n'était pas un jeu. C'était ma v
nt le service en chambre sans appétit, regardant la télévision sans vraiment
t trop
be de créateur et un collier de diamants qui devait coûter une fortune. Il affichait son bonheur, notre trahison, aux yeux du monde entier. Chaque photo était une nouvelle blessure, un rappel brutal de sa cruauté et de mon
nu une relation chaleureuse avec ses parents. Au début, ils avaient été méfiants envers moi, la styliste un peu bohème pour leur fil
dernier réflexe de décence, j'ai appelé mon assistante et lui ai demandé de l'emballer et de la faire livrer aux parents de Marc, a
éléphone a vibré. C'était Hélène
passe-t-il ? J'essaie de joindre Marc, il ne répond pas. Son père et moi avons vu
pouvais-je lui dire ? La vérité éta
us avons besoin d'une pause
, n'est-ce pas ? Mon fils est un idiot ! Un parfait imbécile ! Son père va l
ssé, mais elles ne changeaient rien. Le compt
up pour moi », ai-je dit, ma voix
avant de m'effo
de sortir. Juste pour marcher, pour respirer un air qui n'était pas recyclé. J'ai mis
à que je l
enait la porte ouverte pour Chloé, qui riait aux éclats, un petit sac
r. Mais mes pieds sont restés cloués au sol. N
lieu du bruit de la ville. Chloé a suivi son regard et m'a vue. Un sourire suffisant s'est dessin
la femme mise au rebut, les observant depuis l'autre côté de la rue.