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Monique, La Belle-Mère Et L'Enfer

Chapitre 2 

Nombre de mots : 1138    |    Mis à jour : 04/07/2025

le refusait d'admettre et que sa famille s'obstinait à ignorer. Sa kleptomanie avait commen

rses au supermarché, et en déballant les sacs à la maison, je trouvais un produit que nous

très attention. Et j'ai vu. J'ai vu sa main, rapide comme l'éclair, glis

ment, sans l'accuser, elle a ni

e prends, ma petite ? C'est toi qui l'as

en sûr, l'av

ferait jamais une chose pareill

cle volé, inventant une excuse bidon. Je le faisais pour éviter la honte, pour protéger l'image de la fa

oses chez les voisins. Un pot de fleurs sur un palier, des légumes dan

laindre, Monique niait effrontément, et Jean-Luc et Pierre m

acé le pot de fleurs sans s'en rend

laissé un instant sur la table du hall d'entrée. J'ai su immédiatement que c'était Monique. J'ai

liant de ne rien dire. J'ai dû m'excuser, la supplier, j'étais à deux doigts de

ute la famille. J'ai mis le p

op loin. Elle a

'est mise

Espèce de petite fouine ! C'est to

baissé les yeux, l

calme-toi. Ce n'est

Jean-Luc. Mon mari. L'homme que j'ai

s. Accuser ma mère comme ça... C'

mbait sur la tête. J'étais seule, complè

usin. C'était une grande fête, tout le monde était heureux. Monique portait une robe él

e que son collier, un bijou de famille d'une valeur inest

mencé à chercher, la tension était palpable. Mon premier réflexe a été

ne idée horrible, mais la famille de la mariée était dé

ainte. Je n'avais rien à me reprocher. Mais au moment où j'a

Liliane, c'es

rise dans ses bras. Et c'est là qu'elle l'a fait. J'ai senti que

agir, la cousine de la

ne, il faut qu'

a renversé son co

lle feux sous la lumière crue, au milie

te que j'aie jamais entendue. Tous les regards se sont tou

re, de dire que c'était impossible. Mais il me regardait a

e à la perfection. Elle

pu faire ça ? Après tout c

é le petit doigt. Jean-Luc n'est même pas venu me voir au poste.

ans en prison. Huit ans à pourrir dans une cellule pour un crime que je n'avais pas commis. Huit ans pen

urvivre, mais le poids de l'injustice était trop lourd. Un soir, j'ai avalé tout ce qui

veillée. Au son de ces c

était une seconde chance. Et cette fois, je n'allais pas être la victime. Je serais le bourreau. Je leur ferais pa

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