Une Vie Pleine, Sans Lui
refermée derrière eux avec un claquement sec qui a résonné dans le silence soudain de l
stée immob
te. Il a fait frissonner ma peau nue. Je portais une robe légère, choisi
moitié vides, les assiettes de petits fours à peine touc
uverts d'ampoules. Je n'avais pas l'habitude de porter des ta
froid de l'allée. Je n'ai pas pris ma voiture. Je ne voul
e rugueux était une petite douleur qui me rappelait que j'
uvenirs o
les fois où Marc m'avait
qu'il arrivait tout de suite. Une heure plus tard, il n'était toujours pas là. Quand j'ai rappelé, il était agacé. "Chloé a une urgence au bureau, je
ouger. Je lui avais demandé de passer me chercher des médicaments en rentrant du travail. Il n'est jamais rentré. Il m'a envoy
Chloé. Sa prot
éternité. Les lumières de la ville se rapp
Notre "pied-à-terre" en ville, comme il l'appelait. La villa était sa maison. L'
t devant la porte, j'ai entendu d
. Et la
r s'est
mon oreille
rand huit a l'air dingue ! » disait
illets pour demain, juste toi et moi
s que je devais être en train de me
clé et j'ai ou
roches, un ordinateur portable ouvert d
« Qu'est-ce que tu fiches ici ? Je
regardé ses pieds. Il était en
ie ? » ai-je demandé, ma
ce de paraître emba
ons demain. Pour fêter le contr
s'il se sentait obligé de faire un ges
age affichant une fausse sollicitude. « Oh, mais Marc, tu as dit qu
e s'est
s, l'air soulagé. « Ah o
oé. Et j'ai compris. J'étais de t
i. Amusez-v
e vers la chambre
rière lui. « Léa, tu po
chercher un sac
fort de
lée. Tu rends tout le monde mal
s. Du sang tacha
es pieds ? » a-t-il demandé, une po
i pas
la villa ? Mais t'es
que je rentre, » a
rquoi faut-il toujours que tu fasses des scènes ? Que tu te
mée en colère. C'était de ma faut
s, Ma
er. Tu ne peux pas
par les épaules.
i vu que de la colère e
gué de tes humeurs, de tes r
mmencé à faire les ce
calme. Toi, retourne à la villa et repose-toi
ssant seule avec le silence et la
entrerait pas. Ni ce