Fleurir Après le Désespoir
e se tenait toujours là, le pot d'encre à la main, mais son bras était tremblant. Une lueur de... quoi ?
r s'étant transformée en un dégoût glac
egard en arrière, marchant sur les débris de mes rêves déchir
ce et venimeuse. « Il n'y a de place que pou
j'arrivais en haut des escaliers de service, un long escalier
encore quelque c
avait plus de faux-semblant, plus de larmes de crocodile. Juste un
lé dans le vide. Le monde s'est renversé dans un cri silencieux. Mon corps a heurté les marches en métal, e
c'était la nuit. L'atelier était silencieux. J'étais seule, au pied de l'escalier, dans un
, mais j'étais en vie. Je me suis traînée, m'appuyant contre le mur, et j'ai lentement remonté l
avec lui. Elle avait vu ce que j'avais vu en bas de l'escalier : j'étais en vie. Son visage était un masque de choc et de fureur contrariée. Comment avais-j
ue chose à Antoine. Elle est sortie du bureau et s'est dirigée directement vers la salle des
oublié son écharpe dans la salle des archives et lui a demandé de la lui chercher, se plaignan
re piège. J'en
sous-sol, Clara s'est précipitée vers moi. Elle m
as ? » a-t-elle sifflé. «
vers le sous-sol. Elle m'a jetée dans la salle des archives juste au moment où Antoi
aquée ! Elle est folle ! Elle voulait me pousser dans
rci, toute trace de doute qu'il aurait pu avoir plus tôt s'est évaporée. La v
l dit, sa voix glaciale. « Attaquer Clara.
! » ai-je essayé de dire,
ol, vers une petite porte en fer au fond. C'était la porte de la vieille chaufferie, un en
hir à ce que tu as fait », a-
eur de la poussière et de l'humidité m'a suffoquée. J'ai en
es. J'ai frappé à la porte, criant son nom, le suppliant de me croire. Mais i
ée sans procès, aveuglé par une femme qui le manipulait. Allongée sur le sol froid et humide, j'ai senti le désespoir m'envahir. Chaque respiration