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Fleurir Après le Désespoir

Chapitre 1 

Nombre de mots : 1104    |    Mis à jour : 03/07/2025

int culminant de mois de travail acharné, de nuits blanches passées à dessiner, couper et coudre. J'étais Jeanne Dubois, et chaque rob

créatrice de l'ombre, celle qui traduisait ses visions en réalité. Je travaillais pour lui, mais en vérit

s tard dans la nuit, étaient des promesses. Je vivais pour ces moments, m'accrochant à l'espoir qu'

il décrivait avec une ferveur quasi religieuse. Toutes mes créations étaient des tentatives de capture

sur le podium. Mon cœur battait à tout rompre. C'était ma collection, mon travail.

ntoine est monté sur scène, baigné par la lumière. Il a souri, un sourire rare et

a salle. « Ce soir, vous avez vu l'expression d'une in

ande, blonde, d'une beauté glaciale. Elle portait la robe de clôture, la pièce maî

présente

murmure a parcouru la foule. Alors c'était elle.

n que je n'avais jamais vue dans ses yeux lorsqu'il me regardait. Puis, son regard a balayé les couli

ssez-moi clarifier les choses. Le génie ne peut être imité. Il ne peut qu'êtr

alculée. Les visages de mes collègues se sont tournés vers moi, certains avec pitié, d'autres avec un plai

pierre qui se fend sous un coup violent. L'illusion que j'avais si s

est entré, son visage dur dans la pénombre. Il ne m'a pas regardée. Il a pris une des

é, sa voix dénuée d'émotion. « Tec

touchant le tissu délic

ais, Jeanne. Tu peux copier les formes, les couleurs, mais

ans ma poitrine était si intense que j'avais du mal à res

é, son ton devenant encore plus froid, plus tranch

de moi, son ombr

Tu t'occuperas de sa garde-robe. Tu feras les retouches sur ses vê

nt, de me rappeler chaque jour ma place. J'ai baissé la tête, incapable de soutenir so

, Ant

l'attendait dans le couloir, son sourire triomphant. Et une pensée a traversé mon esprit, une intuition froide et claire comme du cristal. Cette femme

les larmes de mon corps. J'ai pleuré mon amour stupide, mes années perdues, mon cœur brisé. Et pui

mme qui avait pris ma place. J'ai regardé mes mains, des mains qui avaient créé

Clara. Je ne resterais pas ici po

he. Des images de champs de lavande, de villages en pierre et de ciels bleus sont app

is. C'était la seule décision possible. Fuir. Me reconstr

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