Mon retour, leur enfer
J'ai ouvert la porte, mon visage ar
e robe d'été coûteuse qui mettait en valeur sa silhouette, et de grandes lunettes de s
» s'est-elle exclamée en
re qu'une promesse de Marc. Je
de haut en bas, mon simple jean et mon t-sh
arc ne m'avait pas dit qu'il en avait engagé une »,
te remarque m'avait profondément blessée. J'avais bafo
mplement soutenu so
la maison est si bien tenue
tendait à une réaction, à de la colère o
à, Marc est s
», a-t-il dit avec un enth
ophie. Un éclair d'irritation a traversé son regard. Mon manque de r
bien qui est Camille », a-t-il dit, essay
que glisser. Peut-être que ma nouvelle attitude le rendait ner
décomposé, et ses yeux se sont remplis de larmes. C'était
illeurs en ce moment, avec tous mes problèmes... Je suis si stress
rd suppliant, comme un enfant pris en
rend », a-t-il dit en lui passant u
ascinant de voir leurs manipulations à l'œuvre quand on n'était plus l
x, ça ne me dérange pas », ai-je dit d'une voix douce.
re à la nature humaine, qu'elle en devenait suspecte. Mais ils étaient tellement égocentriques qu'ils
i compréhensive », a susurré Sophie, en me lançan
ses bagages – sous les ordres de Marc, bie
aissant. « Je sais que ce n'est pas facile, mais tu gère
de scène et de me faciliter la vie pendant
Mais je suis un peu fatiguée, je cr
faim après son voyage. Je n'ai rien préparé, je ne me sentais pa
é. Il n'avait pas l'habitude de gérer ce ge
bien sûr. Repo
e pouvais déjà entendre la voix geignarde de Sophie depuis le salon
i s
les corvées qui allaient avec. Sophie voulait jouer à la maîtres
frisson de l'interdit. Je me demandais combien de
tion de lever le petit