Piégée par Ceux que J'Aimais
c et silencieux, mais à l'intérieur, c'était l'enfer. Le feu crépitait, dévorant les rideaux de soie, les meubles design, toute ma vie.
er. Il était sorti chercher de l'aide, de la nourriture, n'imp
ir, exultait. Elle se tenait à côté de ses parents biologiques, ces deux vautours que j'avais fait venir da
loé, le visage déformé par la h
je leur avais sauvé la vie. Une vie qu'ils utilisaient maintenant pour détruire la mienne. Ils
"gratitude", m'avait poussée dans la
e pour la tondeuse. Ma dernière décision. Si je devais mourir, ils mourrai
evenue insupportab
'étais dans mon lit, dans ma chambre. Les draps en lin égyptien étaient frais contre ma pea
laiteux. La radio sur ma table de
ce. Les températures chuteront de près de vingt degrés dan
r. C'était
, un plateau à la main. Elle avait dix-sept ans, l'âge de l'ingr
eillée ? Je t'ai a
e chevet, s'est assise sur le bord du
ehors. Je m'inquiète
mêmes mots. La même intona
nd-chose. Je me demande s'ils ont assez de
moi, de grands yeux suppli
oir, maman. Juste pour m'
bloc de glace, une douleur sourde et profonde. J'ai repensé au jour où je l'avais trouvée. Elle avait quatre ans, abandonnée devant un hôpital, grelottant de fièvre, cou
ue j'étais simplement inquiète pour sa sécurité sur la route. Elle s'es
ut-être qu'on pourrait les faire venir ici ? Juste le tem
cercueil. Elle ne voulait pas s'assurer qu'ils allaient bien. Elle voulait leur montrer sa nouvelle vie, leur
s muscles à se détendre. J'ai caressé ses chev
érie. C'est une e
luminé son visa
merci maman ! Tu
cendre à la cave. Je vais leur préparer un colis avec quelques bonnes ch
ser humide et faux, avant de se lever
e dépê
d fixe. La cave. Oui. C'est là que tout allait commencer