La Revanche d'une femme
quelques pas de moi. Il me regardait comme s
maison, tu portes les vêtements que mon père dessine, tu manges
nces à ses actes. Il répétait les phrases qu'il avait entendues tou
it si intense qu'elle semblait avoir anesthésié mes émotions. Je sentais le s
tu as r
des larmes, des cris, des supplications.
plaçante. Et la remplaç
as. Pour lui, le pouvoir et l'argent étaient tout ce qui comptait. L'i
ement lâché, comme si c'était
maison où se trouvait ma chambre. Chaque pas était une torture. Le long couloir, avec ses portraits de famille des Moreau accrochés aux
es m'ont abandonnée d'un seul coup. Le monde a tourné autour de moi, les portra
vant de perdre connaissance fut le cr
urs ! Madame se vi