La Vengeance de la Duchesse
ne femme hautaine qui m'avait toujours méprisée pour mes origines modestes. Ma mère était une simple concubine
e par l'air glacial de Madame Dubois et le
surprise ! » s'exclama Mireille e
uvenirs de trahison. Je me raidis impercepti
ère. Vous m'a
surprise polie, mais ses yeux trahissaient une pointe de déception. Elle avait
e, joua la sœur aima
que j'aie entendue ! Je suis si heureuse po
avais ce qu'elle pensait. Elle pensait à l'héritier, au pouvoir que
ou mais terriblement ambitieux. Elle était revenue brisée, et je l'avais réconfortée. Cette fois, je sa
donner à Antoine ce qu'i
ce, je pris M
e me reposer. Mais Antoine organise tant de réceptions, il a besoin
suspens. Les yeux de M
-tu dire,
temps. Pour m'aider. Et pour tenir compagnie à Antoine lors des soirée
ne proposition si scandaleuse que dans ma vie
oyant que la sincérité et la naïveté sur mon
ien sûr que j'accepte. Je ferai n'i
e quoi,
ce aux rapports discrets de Madame Leclerc, j'appris que Sylvie, ma nouvelle "espionne" auprès d'Antoine, se montrait trè
al. Son attitude était différente. Il y avait
jourd'hui, » dit-elle avec un sour
ser un moment privilégié avec A
ès de mon mari, Sylvie. Il est moin
elet de jade de m
. Il aime particulièrement le thé aux fleurs d'osmanthus le soi
thé préféré de Mireille. Un petit coup de
ensait que je l'encourageais. Pauvre idiote. Elle n'était qu'un pio
, avec son éducation et son raffinement, éclipsait facilement la pauvre Sylvie. Les conversations d'Antoine avec sa
ntoine, laissant Mireille prendre ma place. J'organisai une petite réception dans les
ille, était visiblement charmé. Et Mireille, senta
on bébé, et j'écoutais les rapports de Madame Leclerc. Les graines que j'avais plantées germaient magnifiquement. La jal
t comme une douce musique à mes
Maman te protège. Personne ne
de ma pièce de théâtre était en place. I