Marie Dubois, Mon Crime
on. Des images de mon enfance ont défilé dans ma tête. Mon père m'apprenant à faire du vélo dans le jardin,
travail et aider ma mère. J'avais passé des nuits blanches à la consoler, à lui promettre qu'on retrouverait pa
our être remplacé par un
a voix brisée. « Pendant cinq ans, je me suis occupé
regard, incapable d
uc a r
ur s'occuper d'elle. Un vrai homme. Pas un gamin pleurnichard. Il a fallu que je prenne les choses en main pa
réalité, était trop. Il retournait tout contre moi
ute ? » ai-je ré
é plus ferme, si tu l'avais empêchée de fouiner dans les affaires de ton père, elle ser
e tentais de lui ouvrir les yeux, il me faisait passer pour le méchant, et elle me punissait. Comme cette fois où j'avais découvert qu'il lui avait menti sur un investissement, et elle m'avait priv
uvais plus gagner ce j
ment calme et froide. « Je ne suis plus ton fi
retourné
mère, paniquée à l'idée de perdre le contrôl
» ai-je rétorqué sans me retourner. « E
euil de la porte, Jean-Lu
s pas comme ç
né vers elle avec
. Il a besoin d'u
nt en arrière dans la
cheminée. La seule chose que la police nous avait rendue, u
ivi mon regar
Dubois. Le fantôme qu
heminée, a pris l'urne et
ntion, ça pou
ose en moi
s'est écrasé sur sa mâchoire. Il a été surpris par la violence de mon att
dant avec une fureur glaciale. I
n. Tu l'au
te. Il s'est tourné vers ma mè
est hors de contrôle. Tu vois maintenant ? Tu vo
les yeux pleins de la
on... » ai
Jean-Luc était c
i qui commande ici. Montre-
-derrière. Ses mains se sont posées sur mes bras. J'aurais pu
murmuré, ses larmes tombant sur mes é
nt, Jean-Luc s'est approché. Son
tteint au ventre. J'ai plié en
mon visage. Le sang
thodiques, vicieux. Ma mère pleurait, mais elle ne me l
portant plus, elle m'a enfin lâché. Je suis
dessus de moi, essouff
ma mère, sa voix redeve
maintenant. Il a eu sa leçon
s yeux vers ma mère. Elle ne me regardait pas. E
it d'une voix faible. « Tu
ortait. Pas son fils en s
gnant alors qu'ils me laissaient là, gisant dans