L'exilée des fleurs
floral parisien, était désormais une paria. La grande salle de la guilde des Fleuristes de France, habit
s principes f
synthétiques ! Une hont
ieur, tout s'effondrait. La rumeur, lancée quelques semaines plus tôt, avait enflé jusqu'à devenir une
On lui retirait son titre de Maître Fleuriste, ses créations étaient bannies de tous les concours et de toutes les vit
sa réputation. Elle était bannie dans un coin reculé de Provence, un village isolé où son nom
de Valois, s'approcha. Il posa une main sur son épaule, un geste qui se voulait réconfortant. C'ét
s. C'est terrible, mais nous
ce, pleine d'une
une jeune styliste de dix-ne
ment injuste. Mais o
ette tempête. Elle leur faisait une confiance aveugle, une confiance aussi profonde que sa passion pour les fleurs. Elle monta dans la voiture luxueuse d'Étienne, s'abandonnant à leur sollicitude. Le long traj
ndit. Ils parlaient à voix b
, c'est
loé, vibrante d'une e
avec ses fleurs ridicules. Maintenant, son atelier est à mo
glacer. Elle ne bougea pas
e. L'important est que son nom soit sali. Plus personne ne l'associera à l'héritage de sa grand-mère. Cet hé
. Une trahison. Pas par des rivaux jaloux, mais par son
entendu ? » s'inqui
le n'est plus personne. Nous l'avons détruite pour assurer ton avenir et la pérennité de notre nom.
as une victime collatérale. Elle était la cible. Son exil, sa honte, sa douleur... tout a