L'Adieu cruel d'une Héroïne
de la construction. Mon père avait hérité de l'entreprise, mais pas du talent de son propre père. Il avait grandi avec l'argent, mais nous n'avions jamais vraiment fait pa
ai ri à leurs blagues. Je suis devenue l'amie de leurs fils. C'était un rôle, un travail à plein temps. Je devais être jolie, intelligente mais pas trop, amus
urnés. Mes "amis" ont commencé à me traiter avec une condescendance à peine voilée. J'ai compris que mon utilité avait une date d'ex
la première fois depuis des années, ma mère et moi avons vraiment parlé. Elle m'a raconté comment mon père était devenu obsédé par l'argent et le statut, comment il l'avait peu à pe
une année sabbatique, de trouver un travail, n'importe quoi, pour aider ma mère. Alors que je marchais vers
a bouche. Une odeur âcre et chimique a envahi mes poumons. Ma
à une chaise. La peur m'a saisie, une peur froide et paralysante. Un ho
cruel. « La petite princesse déchue. Ton pèr
numéro. Il l'a mis sur haut-parleur. J
a revoir vivante, vous me trouvez ci
mon père. « Je ne les ai
pour elle, » a dit l
re que tes riches petits amis, eux, paieront pour te récupérer. Surtout après ton pet
ché, son haleine fétide sur mon visage. Il a sor
pauvre. Peut-être que tu pourrais no
s'arrête. J'ai pensé à ma mère, seule dans cet hôtel. La colère a re
e de l'entrepôt
Il y a eu des cris, le bruit de coups. Quand j'ai rouve
se tenait An
couteau qu'il avait arraché à l'un des hommes. Son visage
? Ils ne t'ont p
tat de choc, incapable de parler. Il m'a prise dans ses bras, et pour la pr
vait s
n qui m'avait hum
à la peur et au soulagement
-