L'Adieu cruel d'une Héroïne
emars où je revoyais le visage de cet homme, le contact froid du couteau sur ma peau. Je sursautais au moindre bruit. Le
t nous voir t
un coin de la chambre pendant que je dormais, comme un gardien silencieux. Il s'occupait de tout. Il avait payé l'hôtel
ante. Cet homme, qui m'avait causé une si profonde blessure
ait sortie faire quelques courses,
demandé d'une voix faible. «
le regard, l'a
e le d
st pas juste ça. Après ce que tu
a grincé des dents, son
é un idiot. Un monstre. Il n'y a pas d
ma chaise. Pour la première fois, j'ai vu de la vu
devenir fou. J'ai utilisé tous les contacts de ma famille pour te retr
res. Je le sentais. La co
brisant presque. « Donne-moi une chance
nce était devenue mon seul point de repère, ma seule source de séc
de petites promenades dans un parc voisin. Il était toujours à mes côtés, pa
ions le soleil se coucher depu
que je ne le mérite pas. Mais... mes sentiments pour toi sont réels. Ce n'était pas que le pa
-moi être celui qui te rendra le sourire. Sor
de la trahison passée et le besoin désespéré de croire à ce conte de
être qu'il méritait une seconde chance. Peut-êt
aible sourire aux lèvres
oie qui semblaient si authentiques. Il s'est penché e
gent. Il m'a aidée à surmonter mon traumatisme. Avec lui, je me sentais en sécurité. Je me sentais aimée. Je commençais à croire en un aveni
l'avait sauvée. Même Marc et Lucas, quand nous les croisions, nous regardaient avec un mélange de jalou
chez Marc. « Il est temps de leur montre
ée, je suis allée aux toilettes. En revenant, j'ai entendu des voix provenant du balc
disait Marc. « Tu as vraiment joué le grand jeu. Le sauvetag
ant, j'ai te
e froid, un rire que je ne lui av
n dit que je pouvais la récupérer en moin
is la voix de
a... l'enlèvement, le sauvetage... t
dence heureuse. J'ai juste saisi l'opportunité. C'était bien plus efficace que des fleurs et des poèmes, tu ne trouv
e mot était un coup de poignard. Chaque souvenir heureux de
it encore et t
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