Ma Vraie Vie Commence
es résultats de l'examen blanc, j'ai vu la voiture des Lefevre garée devant le bureau du directeur. Madame Lefev
reau s'est répandue comme une traînée de poudre. Le dir
rtissements, les notes désastreuses – Antoine n'a montré aucun re
cs, ça ne compte pas ! » aurait-i
? Ta mère et moi, on se saigne pour te payer les meilleurs c
pas de Clara
s. Vous aviez le même niveau, vous étiez les meilleurs de votre classe. Aujourd'hui, elle est trois
e mon nom, Ant
sans relâche, elle n'a aucun vrai talent ! Le vrai talent, c'est moi qui l'ai ! Je n'ai pas besoin de m'échiner comme elle
eine de jalousie et de mépris, que mê
sa main a claqué sur la joue de son fils. Le brui
Sonore, h
a joue, le visage déformé p
il sifflé, les yeux brill
et a foncé hors du bureau, bouscula
ime d'un père autoritaire, un héros romantique prêt à tout sacrifier pour son amour. Ils trouvaient son histoire avec Clara digne
t Clara o
épondaient pas au téléphone. Les Lefevre, paniqués,
était bien
re et où l'hygiène est une notion abstraite. Ils étaient là, au milieu de la journée, les vêtements en désordre, quand la
un homme massif et colérique, est arrivé à l'école comme une furie. Il a trouvé le
e de son père, et une rage folle s'est emparée de lui. Il a attrapé la chai
nné dans la pièce, suivi d'un
é à tacher son pantalon. C'était une scène de chaos absolu. Madame Lefevre criait, son
s'était répandue à la vitesse de l'éclair. En écoutant les détails, j
fin pour lui. Et il l'a
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