Une Seconde Chance Amère
adame Dubois, ma belle-mère et la mère de Mireille, qui alluma la première mèche. Elle arriva un apr
e. Elle me toisa de haut en bas, son regard s'arrêtant avec un
faut que no
était
re. Asseyez-vous. Vo
suis ici à cause de toi. Comment oses-tu ? Co
rcils, jouant la c
e ne comprends pas. Je
de vipères ! Tu l'as entourée de créatures vulgaires qui cherche
rice en disait long. Elle pensait que je l'avais fait par jalousie, pour la rabaisser. L
dai mo
s'épanouisse, qu'elle montre ses talents. Antoi
ste, une âme sensible ! Elle n'est pas faite pour ce
re. Je bus une gorgée
s plus aux soirées, » demandai-je innocemment,
pondit, sa voix tremb
ortantes. Je m'occupe d'Antoine, je l'aide dans son travail. Il a besoin de mon
de devenir sa maîtresse. Elle se voyait comme son égale, sa partenaire intellectuelle, bien au-dessus de la simple épouse que j'étais. Elle
ris do
Mireille. Je suis sûre qu'Ant
ironie mordante qu'elles ne semblaient pas percevoir.
une autre tirade, un grand bruit se fit enten
dans le salon, traînant une
s surprise en train de fouille
euses que j'avais introduites dans le cercle d'Antoine.
visage de Mireille. Elle devint blême,
frapper à ma porte. Et c'était encore p