Une Seconde Chance Amère
C'est une femme sévère, la tante de Sylvie, ma femme de chambre personnelle. D
ntra, son visage
z fait appel
mon thé. « J'ai une tâche
surtout, ambitieuse. Je savais que sa loyauté n'allait pas à sa
e avec notre belle-mère et vit seule pour le moment. J'aimerais que Syl
c fut visible
est votre femme de chamb
its et gestes, chaque moment de faiblesse. Elle avait même aidé Mireille à mettre en place le piège qui a conduit à ma mort, en lui d
tement auprès de Mireille, je créais un canal d'information à double sens. Et je savai
, c'est une excellente occasion pour Sylvie. Si elle sert bien ma sœur, qui sait q
erc. Elle comprenait le sous-entendu. Une promotion pou
veuse, mais ses yeux brillaient d'une avidité à pein
e Mireille ? » balbutia-t-
rouillarde. Je suis sûre que tu
e sociale. Mireille, avec son air de grande dame et ses relations, était une ci
e par lettre, accepta ma propo
s dû. Je ne veux pas te priv
triomphe. Elle pensait que je faisais cela par pure bonté d'âme, par culpabilité pe
t ton bonheur sont tout ce qui compte. Sylvie est
n sourire glacia
, Madame Leclerc vint me
connaissante. Elle fera tout son possible
ction de voir sa nièce prendre du galon. Pauvre femme. Elle ne réal
ouris ge
out, nous sommes une famille.
acé mon premier pion. Bientôt, Mireille serait