Vendue à Mon Insue
a nausée à Camille. Elle était allongée dans un lit immense, les draps de soie froids contre sa peau. C'éta
et surtout, il y avait Léa, leur petite fille. Mais la maladie de Léa, une leucémie agressive, avait tout fait ba
ar des dettes de jeu colossales que Camille ignorait totalement. Les créanciers, des hommes aux visages durs, n'avaient p
ait tout réglé. Les dettes, les créanciers, les frais d'hôpital pour Léa. Il avait trouvé un donneur compatible, un miracle anonyme. En échange, il ne
ait un simple verre d'eau, elle avait entendu la voix de Marc dans son bureau. Il
e rien. Elle pense que tu es mort, le pauvre
e sol se dérober sous ses pi
lle est exactement là où je la voulais. Tu aurais dû voir sa tête quand
nna dans le couloir,
ta précieuse fille, et en échange, tu disparais pour de bon et tu me laisses ta femme. Un
était une mise en scène. Son chagrin, son désespoir, sa gratitude envers Marc... tout était une farce macabre. Paul l'avait vendue
bre fut assourdissant dans le silence de la nuit. La porte du bureau s'ouvrit brusquem
as éc
gentillesse, la compassion, tout le masque qu'il p
contre le mur pour ne pas s'effondrer. La douleur était physique, une lame brûlante qui lui transperçait
montante. Il l'avait séduite avec son talent, son charme, ses promesses. Elle avait abandonné sa carrière pour lui, pour construire leur famille. Pour Léa
de plus ajoutée aux murs de sa prison. Elle avait tout perdu. Son mari, sa liberté, son illusion de sécurité. La trahison
récompense. Ils l'avaient sous-estimée. couchée dans ce lit luxueux, elle fixa le plafond, les larmes séchées sur ses joues. La faiblesse avait quitté son c
le petit-déjeuner, son sourire toujours aussi prévenant, Camille lui rendi
e sais pas ce que j
e la tempête qui s'y préparait. Il pensait