Trois Jours pour Mourir
ux livres flottait dans l'air. J'ai tourné la tête et je l'ai vue, assise dans un fauteuil près de la fenêtre, un livre sur les genoux. Éloï
s réve
d'une colère sourde. Elle a posé s
mon domaine. Il t'a reconnue et t'a amenée ici. Adèle... q
t commencé à affecter mes cordes vocales. La panique m'a saisie un instant, puis a l
. Elle a pris ma main, sa chaleur un contr
est venu. Il... il m'a tout dit. Adèle,
ransmettre tout ce que je ne pouvais pas dire. J'ai pointé du doigt mon sac de voyage, que quelqu'un avait posé sur une chai
a ouvert la boîte. À l'intérieur se trouvaient tous les documents originaux de mes biens, ainsi que
loïse en parcourant les documents.
oché l
tement expérimental... On pourrait essayer... », a-t
on. C'était fini. Je ne voulais
a sorti une lettre de la poche de sa robe, le papier fro
ça hier. D
ire. Je connaissais déjà le ton. Éloïse a commenc
erres et sa dot ! N'est-ce pas formidable ? Armand et moi allons enfin pouvoir nous marier et offrir à Henri la famille stable qu'il mérite. Adèle a mê
poing. « L'arrogance ! La cruauté
our où elle avait "accidentellement" détruit la robe de mariée que ma grand-mère m'avait léguée, pour ensuite en recevoir une nouvelle, bien
u autant sur Adèle ? »
e voix pleine de venin. « Elle n'est qu'une usurpatrice. Je ne fais que reprendr
. J'avais eu tort. C'était un plan. Un plan qu'elle avait e
. C'était la fin. Mes yeux se sont posés sur un journal posé sur la table. Un petit entrefilet a attiré mon attention. Ma mère, Madame Dubois, avait fait un don généreux à l'or
Fais ce que tu as à faire. Ne les laisse pas s'en tirer. Elle a hoché la tête, ses larmes se mêlant à un regard de détermination farouche