L'Ombre de Jeanne
, sa voix calme contrastant avec la panique de son interlocutrice.
n silence chargé de stupéfaction. Jeanne ne s
ria-t-elle, l' impatience perçant dans sa voix. « Pi
mer. « Je n' ai plus aucun devoir envers toi, ni e
ai n' importe quoi. » Sa voix se br
es à travailler jusqu' à l' épuisement pour elle, de tous les sacrifices qu' il avait faits pour une
uoi ? » répéta
que tu veux ! De l' argent ? Je te d
nt l' instant. « Très bien.
is. Il pouvait presque l' entendre c
rmura-t-elle, incré
ros, virés sur mon compte avant que je ne mette un pied à
était piégée. Il le savait. Et il en épr
er, la voix étranglée. « D' accord
a : « Je veux une preuve du virement. Env
l n' arrivait pas à croire à sa propre audace. Mais au fond de lui, il sentait que c' était la seule chose à faire. Il n
Un virement d' un million d' euros. Suivi d' un message de Jeanne avec une captu
tal, il la trouva dans le couloir, faisant les cent pas. Elle était pâle
! » dit-ell
répondit-il froidement. « Où
ssayant peut-être de déceler une trace de l' ancien Antoine, celui qui l'
n le conduisant vers un
s' enfoncer dans sa veine, le sang rouge et chaud commencer à remplir la poche. C' était son
rd fixé sur la poche de sang. Pour elle, ce n'
-t-elle. « Je savais que je
ntait de plus en plus faible. La perte de sang, combinée à la fatigue et au stre
i, » dit l' infirmiè
essaya de se relever, mais ses jambes se dérobèrent sous lui. Le monde bascula, et il s' eff