Sept Ans de Brisure
dans un fauteuil, un verre de vin à la main, comme si elle était chez elle. J'ai essayé de gard
je ne le pensais. « Je pense qu'il est temps pour
s moi, un petit sourire
soin de moi. Nous avons f
se m'a coupé le souffle
er soir. Faites vos valise
n rire léger
que je reste. Il m'a dit qu'il n
moi. C'était ma maison. Mon m
était paralysée. Pour l'aider, pour raviver sa passion, j'avais passé des semaines à recopier ses anciennes notes, de ma main gauche, dans une écritur
t ? » ai-je demandé,
rnet, le caressant
e je l'aie. Que ces notes lui rappelaient une époque révolue,
t la négation de tout ce que j'avais fait, de tout ce que j'avais été. J'ai tendu la main pou
ne-le
No
main de Carole crispée sur le carnet. Sans une seconde d'hésitation, il s'est placé devant elle, me barrant le passage. Il a posé u
» a-t-il dit, son rega
oix soudainement douce, pleine d'une te
pas peur
ruse. Moi, sa femme, dans ma propre maison. J'ai regardé mon bras, déjà marqué par sa poigne. J'
ne de mes robes de soie, une que j'aimais particulièrement. Il la lui avait sans doute donnée. L'image éta
garder, a parlé
chambre d'amis. Carol
omme sa femme, mais comme une employée de maison. Une servante char