Sept Ans de Brisure
me touchait jamais, sauf dans ses cauchemars. La nuit, Alan se débattait, griffait, me repoussait. Ses cris silencieux me laissaient
satisfaction. J'avais fait mon devoir. J'avais épousé Alan Moore, le génie du vin, pour réparer ce qui avait été brisé. Devant eux, je jouais mon rôle à la perfection. Je sou
vec Carole. Elle l'aide tellem
s une discussion sur les tanins ou les arômes que j'ai entendue. C'étaient des gémissements, des soupirs, le bruit de peaux qui se heurtent. Mon mari, l'homme froid
les bruits de l'acte sexuel qui provenaient de la tablette. L'humiliation m'a brûlée de l'intérieur, plus chaude que n'importe que
ux le d
, vide et impeccable. Il était un étranger dans notre propre maison. Un fantôme que je servais. J'ai attendu. Je l'ai entendu monter
en sept ans, j'allais demander quelque chose po
lan
as, son visage s'e
touche
ait un mur
act est...
soins, de nuits blanches, de cicatrices sur mes bras. Sept ans à gérer son domaine, sa vie, ses démons.
a lune. Il me griffait, me poussait, mais jamais, au grand jamais, il ne s'était excusé. Le matin, il ne se souvenait de r
seule véritable passion, le ramènerait à la vie. J'avais vu de l'espoir dans ses yeux quand elle était arrivée. J
me Moore." "Il ne la regarde même pas." "Cette Carole, elle passe beaucoup de temps dans la cave." J'avais mis ç
is du bruit sourd des coups, de son corps qui s'effondrait. Il m'avait sauvée. Ma famille, accablée de culpabilité parce que les voleurs v
e lui avais dit : "Je serai là pour toi, Alan. Toujours." Il m'avait regardée avec ses yeux vides et n'avait rien répond