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Le Play-boy Milliardaire

Chapitre 3 Chapitre 3

Nombre de mots : 1167    |    Mis à jour : 29/06/2025

s sa présence. Absolument tout chez lui – de ses mèches parfaitement coiffées à son allure de couverture de magazine en pass

Pas une seule fois il ne m'a adressé un simple « bonjour ». Pas une. Il ouvre la porte, me jette à peine un regard et retourne à son mon

tés de la réalité dans laquelle nous autres,

type n'est pas responsable de tous tes malheurs. Mais bordel, qu'est-ce que c'est facile de canaliser sa rage contre lui. C

ier matin où il a ignoré mon « Bonjour » sans même un regar

Dicklan

s du personnel, que Son Altesse, le grand Declan Blackwood, était un sacré coureur. Apparemment, il aurait une nouvelle conquête dans son lit chaque soir. Mais aujourd

à pour bosser. Bien faire mon boulot, empocher mon chèque et commencer à rembourser l

ppiller quelques billets. Puis direction le casino, mon troisième job, où je sers des boissons à des clients qui pensent qu'un po

er pour payer un loyer, de se noyer sous les factures. Il est là-haut, sur son trône doré, à administrer Bl

nnes, qui se tue pour ses deux parents handicapés. Si seulement ce type pouvait passer cinq minute

droit avant de tout déléguer. Il supervise la création des hôtels Blackwood, les pousse jusqu'à la perfection, puis passe le relais. Voilà pourquoi cette suite ne ressemble pas à un chez-soi. Juste à une étape lu

s que moi, je donnerais tou

aîner... à deux pas du lave-vaisselle. Je doute qu'il en ait déjà chargé un de sa vie. Je replace le couvercle du bol de fruits avant

vez laisse

me glace sur place. Il est juste là, tout près. Je sens son souffle sur ma nuque. M

aqués en arrière, des gouttes glissant sur ses épaules larges. Mes yeux suivent malgré moi les lignes de son torse, puis cette li

'il y a

... beaucoup. Une promesse de virilité mass

'enflammer. Je me r

, monsieur

ck

érer ma tasse,

t user de politesse avec moi. C'est là que je réalise que je tiens toujours la tasse et la fourch

vu, des torses. Mai

éritier

he... Il e

faire fondre n'impor

l est vraiment aussi... g

vers lui, et lui tends la tass

ue trait de mon visage – sûrement le rouge encore

est vot

pu le lire. Mais peut-être ne voulait-il pas que je pense qu'il fixait mes seins ? Peut-être vou

répondis-je calmem

Hm

t, comme si mon nom éveillait chez lui une vague curiosité..

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