L'Héritière Blessée : Une Renaissance en Californie
au lit. L'odeur du café me donnait la nausée. Rien
veux pas
ait plate,
ir. Je veux al
ommencé. C'était là que je
ité, pui
viens avec toi. Tu
rison. Je n'avais pas
automne était doux, mais je ne sentais que le froid dans mes os. Nous
désolé pour votre accident. Nous... no
mblai
ation de vos parcelles cette année. C'est une excellente
êtue d'une tenue de travail impeccable. Elle m'a reg
. Il disait que tu avais besoin de repos, et que je suis la seule
t "chef-d'œuvre" avec
de fermentation à froid. C'est brillant. Je l'ai utilisée pour la d
echnique. Mon
sa voix un murmure venimeux q
.. c'était pour que je puisse prendre ta place.
frappée en plein visage. Mon sou
i. Une fumée noire s'échappa
feu
dans tous les sens. Roderick s'est préci
vite ! Sor
dans mon fauteuil roulant, au milieu du chaos. Les flammes se propageaient à
le fauteuil, mais les roues
son regard a croisé le mien. Une seconde. Juste une seconde.
chose. Il a secoué la tête
aband
de moi. Une étincelle a atteint ma robe. Le tis
er pour éteindre les flammes, mais c'
ce, j'ai vu des pompiers se préc
ouveau. L'odeur d'antiseptique et de p
désolé. Tout s'est passé si vi
Mon silence était plus lourd q
u. Il m'attendait en Californie. Il avait un nouveau protocol
is », ai
vu l'écran du téléphone de ma mère,
» a-t-il dema
ai-je menti sans ciller. « Il pr
emblé
t'emmène quelque part
ux. En entrant dans la salle de bal, j'ai compris. Sur une estrade, Carole G
, comme pour être sûr que je ne manque
crire les arômes, les techn
qu'il ne m'avait jamais accordé. Pas même dans le secret de nos nuits. Cet amour-là
J'ai compris ce qu'était le véritable amour,
ns ma poitrine, si forte qu'elle