La Renaissance d'une Mariée Éconduite
Amélie. J' ai b
nuit parisienne est indifférente, ses lumièr
sa voix, chaude comme la terre de Bordea
ée sur mes paupières. « Accepterais-tu une
d' une salle de conseil d' administration. Pas d'
ons. Il ne se moque pas.
e du salon. L' appartement haussmannien, si parfait, si impeccable, me semble soudain
peine, j' étais la femm
était à genoux sur le Pont des Arts, un genou à terre, le cliché parfait. Un quatuor à cord
s lumineuses géantes proclamaient
HEC, le couple modèle, la fusion de deux dynasties en devenir. Les Dubois de Grasse, parfumeu
s titres. « Le mariage de l' année. »
s' est endormi presque aussitôt,
meil. L' excitation, peut-être.
e chevet. Un simple coup d' œil. Je
e sous un nom qui m' a glacé le
? Tu vas vraiment l' épouser ? Je ne peux
, soudain engourdis, ont tapé le code.
ert la co
ges. Des photos. Des vidéos. Des mots crus, p
achée derrière son sourire charis
aire de sa banque. Celle qu' il m' avait présentée une fois, l' air paternel
oration qui, à l' époque, m'
e n' était pas de l' adorati
sage suintait une dévotion malsaine, u
n secret », son « échappatoire ». Il se plaignait
alifiait de « froide ». De ma passion pour le parf
it une gifle. Huit ans de ma
. La vitrine idéale. Mais toi, Chloé, tu es mon refuge. Mon vrai moi. Ne t' inquiète pas, le
couru aux toilettes, vomissant
i pas vu la fiancée radieuse. J' ai vu
e. La passion pour mon art s'
fronterai pa
. J' ai pris mon propre télépho
onde authentique, terrien. Celui que j' avais laissé
ait toujours ai
Amélie. J' ai b
de ma v