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Amoureux de ma meilleure amie

Chapitre 5 Chapitre 5 : Eliott

Nombre de mots : 1625    |    Mis à jour : 21/06/2025

tes dans mon ordinateur. Après manger, je vais directement à l'université. J'arrive au campus à onze heures trente puis, je me dirige vers l'amphithéâtre pour mo

ouvait m'ôter cette boule que j'ai dans le ventre. Et si j'arrivais à extirper ces satanés sentiments de mon cœur. Alors je serai comme une pierre, vide, libre, heureux. Mais mon bonheur a un nom. Il vit sur terre et je ne peux le quitter pour de bon. Oui, mon bonheur s'appelle Lena...'' J'aperçois Lena au loin. Elle est assise à côté d'Eloise. J'avale d'un coup ma fierté. Je repense à la veille et à toute la cascade d'émotion qui m'ont envahies hier. Celles qui ont légèrement troublé mon sommeil. Lena quant à elle a l'air d'avoir rajeunie de dix ans. Son visage est souriant et elle a échangé son maquillage léger habituel par un autre qui est un peu plus sophistiqué mais qui fait toujours autant naturel. Elle porte un chemisier rouge et une jupe. Ses cheveux descendent le longs de son corps. Ils lui arrivent tout juste au niveau du dos. Putain, elle est vraiment canon. Si seulement elle pouvait savoir à quel point j'ai envie de l'embrasser là maintenant. Et ses lèvres habillées d'une fine couche de gloss... Hum...si seulement elle m'y autorisait, je les déshabillerais avec une telle passion qu'elle en serait choquée. Je salut Eloise d'un geste bref de la tête avant de me tourner vers ma Lena. Nos regards se croisent. Ils se tamponnent et le bruit autour n'existe plus. Le temps passe au ralenti. '' Je l'aime putain, j'en deviens fou ! '' - Salut, lancé-je les mains dans les poches. Sebastien rejoint sa belle. Ils s'embrassent langoureusement sous nos regards indiscrets. Lena semble un peu gênée. Elle sourit timidement, les joues rougies puis m'invite à s'asseoir à côté d'elle. Nous sommes assis côte à côte. Si près l'un de l'autre. Nos souffles se réunissent en un seul son. Les battements de nos cœurs se rejoignent. Ils ont le même rythme ; rapide et affolé. Nous sommes torturés par un silence qui cache l'envie de dire un simple mot qui briserait cette barrière que nous avons construit entre nous. Je cherche en moi, la phrase idéale, pour relancer la conversation. Pour vu qu'elle soit comme d'habitude, banale, sans pression... '' Et qu'on évite de parler d'hier, surtout ''. - Ça va ? me demande-t-elle de sa douce voix. J'expire en silence. Je suis ravi, soulagé qu'elle ait prononcé le premier mot. Mes muscles se décontractent. Je sors mon ordinateur de mon sac puis je le pose sur la table. Mon silence semble la torturer. Elle suit minutieusement chacun de mes mouvements. - Écoute, je suis désolée- Je l'interromps. - Je vais bien et toi ? T'as l'air en forme ce matin. Elle soupire. Son visage est pris en otage par deux choses : l'angoisse et le désarroi. Elle ne comprend pas ma réaction. Elle ne comprend pas pourquoi j'évite maladroitement le sujet. - Ça va, lance-t-elle. Le timbre de sa voix me révèle qu'elle ment. Elle n'est pas sûre d'elle comme d'habitude. Je sens que quelque chose ne va pas. Je ne tarde pas à comprendre qu'ell

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