Les héritiers du phénix
t toujours de l
e une lance au milieu de rien, ses branches calcinées tendue
vide qui pourtant ne la terrifiait pas. Il y avait dans cette obscurité une tendresse étrange, comme un
ent : lorsqu'elle tendait la main, la silhou
en sursaut, l
était si
s yeux rivés au plafond noirci par les siècles. L'air était frais, presque humide, im
is. Chaque colonne portait le nom d'une Gardienne. Des femmes mor
leva sa
nt pas le droit de s'attarder. Les tentures grises frémissaient
taire. Taire les voix, taire l
ujours entendu plus
a devant le
de ce
vices devaient le balayer chaque matin sans jamais le fixer. Car sous la cou
endit l
effleurèren
e fine couche, elle vit apparaître un m
e
autre, p
ou
ère, cachée sous les
e, écoute les cendres : el
pas. Un frisson
avait entendus dans son rêve, murm
vait enten
re s'ouvrirent d'elles
s. La lumière de l'aube s'y glissait comme une main h
archa l
ote isolée. Chaque pierre sembla
nt les yeux avaient été effacés depuis des générations. On disait que les Premières G
uilla. Regard
vit ne la r
en. Ses yeux plus clairs. Et
rmi, dit une voi
e, la peau sillonnée de rides comme un parchemin ancien. S
rêvé, mur
onies du Silence, tissée de fibres d'écume et d'
es trop,
plus
s encore, n
aissa l
Ou
n so
nd nous t'avons trouvée, tu étais brû
n'avait pas de souvenir clair, mais
plus rester
fut
de colère. Juste une ce
personne ne la suivit. Perso
u n'ont pas de fo
e vibraient encore en elle. Les cendres sous ses do
Cha
seule penda
s. Des autels brisés. Et partout, elle retrouvait les même
x l'ap
t se calmait. Quand la terre respirait. Une mé
ée à flanc de falaise, elle vit
seau
Phé
te d'un cristal : Ceux qui l
a là jusq
epar
vallée sans nom, au croisemen
, qu'il portait le mêm
lèrent pas
aient pa
ait déjà. Une résona
yeux, elle ne vit plus l'arbre calciné. El
que chose
pas p