Les héritiers du phénix
aient comme les rides d'un géant endormi. Le ciel, laiteux, baignait le monde d'une lumière sans orientation claire :
cou
e foulée comme des gueules lassées de l'effort. Le sable collait à ses jambes, à sa n
ne s'arr
ges, seulement la marque noire qu'ils portaient sur le front, semblable à une cicatrice verticale, comme un
pierre, peut-être.
ondra su
llique rempl
e répondirent pas. Tout tournait auto
y eut
voix à l'intérieur de lui. Anc
s fui. Tu as
rit le
e avait
t plus celui de la peur ou de la fuite. C'était un silenc
se tenait au-
au était pâle, presque translucide. Ses yeux - c'était cela qui le frappa d'abord -
encha
entendu, t
arler. Aucun
la, posa la mai
ger, mais intense,
ue chose, dit-ell
a sa propr
faiblemen
aient plus. Ou bien ils avaient renoncé. Ou peut-être n'avaient-ils jamais eu l'inte
lle Liora,
Ce n'était pas une salutatio
sembla s
i...
acqui
e s
'écoute, peut-être. Des fragments de mécanismes rouillés, des fresques à demi effacées, des marq
e était plus dense encor
aît le Chant,
s il sentait. Quelque chose. Une
d'où ? de
ssa les
Ils disent qu'il n'existe plus.
e le mur. Sa voix
ndres, les pierres, l'eau. Mais surt
eux qu'il avait connus dans les campements, ni ceux des routes.
? deman
urna le
rontières de Rien. Je ne savais même pa
inter
rdait. Elle n
s entend
cha l
une flamme. Plutôt... com
t-elle. M
t la nuit da
l r
ette l'attendait. Il ne pouvait pas en voir le visage, mais il la connaissait. C'était lui. Ou une autre ve
l se r
à debout. Elle
rde, d
'app
roche. Gravés à même la pierre, mais invisibl
ce, écoute les cendres : el
rmura l
chose en lu
t le
pas encore. Mais quel
allumé. Une trac
averne en silence,
l'o
t où tout all
les ombres. Elle n'avait ni nom ni but. Elle portait un manteau l
si avait ente
si était
at du