Un destin Sans pareil
les par les marchands afin d'attirer la clientèle ; le grand marché d'Adjamé situé dans le district d'Abidjan était un
meurait un nombre incom
aire des emplettes dans ce vaste marché ; certain
bandits, partisans
sitaient pas à dérober des bagages , sacs, bijoux,
puis toujours, avait encore p
stridente d'une dame se fit
ours , m
une femme qui venait de se faire arracher s
pparence d'un regroupement dipl
proposaient de ratt
nt, c'était p
eur c'était déjà bro
donc , de le
aigrefin , dans ce vaste
ne marchande de fruits agrumes assise sur un banc tout juste devant
à une très belle jeune fille infiniment charman
vec un jolie postérieur, de long cheveux noire
nche, ni noire
ait en doute son appar
ité "Américaine" faute de son teint qui s'
t fortuitement l'interrogeait sur sa nat
rateurs réagissaient, lorsqu'ils appren
, beauté
ommé l'Américaine ; tellemen
puis son adolescence, Amira n'é
pari dans sa vie, d'avoir son premi
voulait faire du sérieux avec elle. Tous voulaient en premier lieu, l'essayer sexuelle
à l'antipode de se
Mais, ne trouvant pas un homme qui la comprendrait sur ce point, elle décida alors de reste
gréable de sa défunte mère, il faut dire que la jeune fille
e, une excellente fille ayant le cœur sur
'accostait, c'était toujours avec af
on bas âge, elle demeurait une fille très intelligente qui
la meilleure solution au problème ; Amira était une
défaut, était son cô
ements de quelqu'un pour avancer, ce qui mett
ux meilleures amies dans son quartier avec qui,
tina 20 ans et
e fille avec un beau teint bron
houette fine et élancée qui lui
ès gentille et surtout prête à aider son p
scret lui donnait le d
était de teint noire d'ébène avec u
qu'elle exhibait à longueur de journée dans un collant ou panta
t très prolixe , comique et très gentille, surtout a
l défaut était son
ses amies malgr
comme des sœu
nt désormais le clair de leur temps autour de la table d
mira ne verrait pas ses amies autour
es prétendaient toutes
cupée par les travaux d
à un entretien de travail qu'elle avait postu
e retrouvait toute seule
ient véhiculé, elle reprit sa place sur son siège tout en r
rande mère maternelle s'était aggravé ; elle ne c
de sa mémé paralysée par l'hyperten
réfléchissait comment elle allait régler la dernière facture de l'hôpital et acheter les t
financièrement cette fois, puisqu'elles étaient
é le petit boulot "d'aide-ménagère" qu'elles exerçaient dans le passé toutes de
renvoyée par
des relations amoureuses avec son mari en cati
, avait elle-même arrêt
s'occuper des enfants de sa patronne, ensuite faire le ménage, faire à manger, en
n'en pouv
d-mère au marché dans son commerce de l
mémé lui remettait de l'argent pour pr
années après, sa grande mè
on pour son emploi de
son commerce avaient été dép
s besoins (elle et sa mémé) ; Amira était contrainte de faire main
multiples charge
ite, nounou et enfin, aide ménagère ; pendant ses vacances scolaires
r tous ceci , après l'obte
dans ces métiers appelés couramment "passe-temps " ;
ui rapportait pas toujo
i même que de le faire pour ces dames qui te feront
tions entre femmes s'avèren
ui poussa Amira Konan à demeurer dans son
a qui régnait dans ce grand marché, elle fut interromp
, dans son sac d'argent qu'elle avait
n d'accueil de son téléphone, histoire de vo
inconnu ! S'exclama
pel, afin que je découvre l'identité d