Un destin Sans pareil
, tu as beaucou
arti lorsqu'il te faisait vivre
me n'avait pas les mêmes droits que l'homme. Pour dire vrai, la féminisation n'était pas trop d'actualité. Du coup, la soumission
indéni
avait le droit de la répudier ! C'est ce qui justifiait le fait que les mariages d'antan faisaient longue feu, avec moins de divorces. Ce qui est to
upa à nouveau la pet
aucoup perdu sa valeur de nos jours ! Mais dis-moi, il parait qu'à votre temp
uce, c'est
s été victime de ce
ela dépendait de
artir des géniteurs qui imposaient un mari à leur fille. Lui par contre, il te laissait faire ton choix, c'est-à dire tr
, était mieux que d'imp
st tout une autre vie ! Il faudrait d'abord être forte sur tous les plans, po
ainsi tu sauras pourqu
mon entourage, et aussi par crainte aux avertissements de
mariage est sacré ! par conséquent, on ne t'a pas imposé un mari. Ce fut plutôt toi qui la choisi ; donc tu ferais mieux de
e, mon seul parent qui me restait. Vu que j'a
ariage et surtout dans le but de ne pas perdre ma fille ! Puis, de
vais vécu pareil avec
rase, la grande mère d'Amira marqua un
is vécu avec la femme de
é ! Demanda à nouvea
sourire) et pour ton si jeune âg
le ne soit une occasion de chute pour toi. Après tout, la curiosité est aussi un vilain défaut. Cepe
ntinua mémé Evelyne, me lég
elle acheta avec son salaire d'institutrice au fil des a
t d'une autre femme, qu'il avait aussi engrossé. Suite à cette déception amoureuse, elle ne refit plus sa vie. Cett
pousa coutumièrement la mère d'Anissa. Puis s'installa, av
a porte par son géniteur sous les railleries de ces demis frères et sœurs. Tout simpleme
nut mon père qui s'occupait d'elle à cett
sesse inattendue qui bouleversa leur amour au
feu géniteur lui donnait. Ce qui lui permit par la suite, d
imaire. Et par la suite, libéra le studio que lui louait mon géniteur pour se prendre une maison à elle à
factice. Parce qu'ils avaient vu qu'elle s'était maintenant faite une place so
a leur pardon ; tout en leur aidant
B
à-dire lorsque j'eus mes 18 ans que mon
époque. Aujourd'hui je pourrais affirmer haut et fort que sa mort n'était pas naturelle
frappés alternativement de mort mystique par l'âme vengeresse de ma mère. Vu qu'elle voulait que ce soit moi sa fille, q
ue et ses
a feue mère. Mais cette conception sur les morts changea, lorsque je co
continus
fut remises. Etant très jeune et ne pouvant pas rester toute seule dans cette mai
nt-à elle, avait une influence sur lui, ce qui faisait qu'on n'
sait presque tous ensemble. Quand sa mère me privait de nourriture, elle me rappor
se ressemblait guère. Elle ressemblait plutôt à sa mère et moi à ma défunte mèr
poque un jeune informaticien exerçant à la fonction publique qui était âgé jadis de 25 ans et était aus
ariage ; comme un déshonneur c'était ainsi qu'i
e dernier entamaient rapidement les démarches
u'après l'accouchement s'en suivrait la dot. Car chez nous, la
fois, peux-tu me dire pourquoi on
us les Akan, pour la simple raison qu'on craindrai
ison alors, moi qui croyais qu'
mystiques. Mais là, n'est pas la pertinence de mon histoire et sur
é, je te fa
ébé, c'est tout à faire no
'humiliation de mon père. Parce que, ma benjamine allait épouser un homme qui venait
tres, mon père m'exposait et m'injuriais, je souffrais le martyr en sil
a sœur conçoive sa fille nommée ketian
ariage grandiose. C'était ainsi que ma cadette, quitta la maison familial
lle en profitait pendant ces moments, pour me remettre quelques billets de banque secrètement. C'était ces billets qui me permirent de débuter dans
puis la classe de première pour devenir u
arâtre. Je quittai le domicile familial, pour loger dans la maison que ma mère m'avait laissé en héritage sis à Abobo Baoulé
itage que, je puisse
rir de sitôt, je trouverais de l'argent pour
e que je vis et vois venir,
ontinua mémé Evelyne. Il fut Convaincu par sa femme, la mère d'Anis
je continuais mon commerce d'igname
ouffrait déjà le martyr. Son mari la trompait à plusieurs reprises sous ses yeux, un sans-
rmission à Angré. C'était ainsi que, Je fréquentais Séverin pendant six bons mois. On se voyait que, pendant ces congés sous permissions. A cette époque, il
uaké pour une mission de travail et en profitait pour me voir. Il faut dire q
vec son mari sur Abidjan depuis. C'était, Quelques années après cette crise, que j'appris son décès par le biais d
rappelles tu, du jour que je t'avais annoncé que j'avai
tais en classe de troisième, tu m'avais mont
est très difficile de perdr
ne, qu'est-ce qu'elle est dev
'obtention de son baccalauréat. C'était son père qui la fit parti en Europe. Lui-même refit sa vie quelques temps après, le décès de m
e comprends bien je n'ai plus de famille à part toi ?