Dahomey : Chronique d'un royaume brisé
: Le prix
une régularité presque cérémonielle, comme pour annoncer un nouveau chapitre de l'histoire du Dahomey. Le roi Agadja se tenait debout, drapé
compréhensible, leur métal froid, et leurs livres saints, apportaient une nouvelle sorte de pouvoir : l
-
cool et des tissus contre du bois, des épices, et des captifs. Les captifs, au départ, étaient des pris
re et d'alliés pour se maintenir face aux empires voisins. Il signa un accord commercial avec les négociants portugais
-
agnes militaires, autrefois stratégiques, devinrent des chasses humaines. Les guerriers ramenaient des cent
ent plus, disait-on da
pleu
mbour ne réso
rêtres vodoun. Il dormait peu, parlait moins, et observait souvent
Mais comment protéger le roya
ne lui
-
isions, fut convoquée au palais. Elle entra, les yeux fermés, guidée p
changé les voix de nos ancêtres contre des fusils qui ne
aient. Il congédia la prêtresse, mais ses
-
guisant leur colère en musique. Les griots, dans leurs histoires, parlaient d'un roi qui s'éloignait du chemin du vodoun
a l'installation d'un gouverneur portugais, et fit construire un fort autour de la Maison des Esclaves
quel
-
e cendres, entouré de visages sans yeux. Il entendait des tambours,
es une force redoutable, s'agenouillèrent devant lui. Il leur demanda de protéger les vill
réparer, peut-être que l
mission pacificatrice. Elles désarmèrent des milices locales, protégèrent les enfant
ait de brûler. Et les navires ar
-
ployait sous le poids des décisions passées. Il ordonna que ses enfants ne lui succèdent qu'en jura
son frère ne pos
dernier a
poussière rouge d'Abomey. Il fut enterré avec les honneurs, mais au
es, enfin,
-
s'appelait Tegbessou, fils d'Agadja. Dans ses yeux brûlait la volonté de redonner au Dahomey s
peut-être, accepteraient