L'ATTRAIT DU DIABLE
inco
ue d'elle. J'ai entendu son cœur battre, s'apaisant, et quand j'ai été certain qu'elle était au bord du sommeil, je suis entré dans sa chambre par la fenêtre pour lui faire savoir que j'étais là. Maintenant, je suis assis sur la chais
ules, sont épars sur l'oreiller et son beau corps. Taille fine, mais un p
m'arrête à côté. Je rampe au-dessus d'elle, soutenant mon poids sur mes genoux et
comme une drogue dont je ne peux pas me passer. J'embrasse son cou à bouche ouverte, ma langue glissant sur sa
ts gémissements. Mon membre tressaille d'anticipation, je me presse contre son dos, me frottant
ordu. Mais c'est
ogne. Une dernière fois, je suce la peau de son cou avec avidité, p
ANDRA
, mes mains crispées sur l'oreiller. Mon cou est humide.
e balaye la chambre du rega
ns ma poitrine. Des larmes me montent aux yeux, coulent sur mes joues. Et peu à p
chose d'humide e
uillée ? - pensais-je, l'h
e. Il fait encore nuit. Peut-être que j'ai rêvé tout ça. Je vis seul
re que je les ai faits avec un objet ? Je suis dans le déni. Je refuse de croire que quelqu'un puisse ve
besoin de contact physique. Un truc temporaire. Je pourrais e
une bonne idée ? Je ne crois pas. Mais... il n'y a pas de mal à essayer. Je suis forte. Je suis indépendante. Si ça
pas une b
ire courte sans manches s'arrête à mi-cuisse, avec un décolleté profond. Des bottes à talons hauts, noires. J
oup. Je ne vais pas m
s ma voiture, direction le club. En voyant les néons clignoter à l'entrée, je sens
e fous ? Qu'est-c
ne fille. Une seconde plus tar
Le regard du mec se pose sur moi - brûlant. Je détourne les yeux ave
TIN P
rps en sueur et en chale
qu'elle est en
ent des regards pleins de prom
um. Mon regard file vers l'entrée.
e préfère qu'on l'appelle comme
moi ». J'en gémis presque. Elle va me tuer. Elle a l'air nerveuse.
sur elle, pleins de luxure. Je gr
vers elle
u fais ici ? - la
détend en me voyant. Rien qu'en posant
sou
là, j'allais juste m'évanouir - d
ex ? - je répète, plus fermemen
que toi ? - dit-elle,
urmure à l'oreille. Elle rougit. P
s... Non - bafouille-t-elle, mais je vois qu'elle ment. C'est écr
lle se calme un peu. Si elle veut du plaisir, il fau
re un verre - je lui dis
ses yeux me dév
art, non ?
ênée de se fai
éplique-t-elle. Typique.
mmande, avant de me
te plaît - dit-elle timide
ron ici. Amuse-toi - je crie
ste, ses yeux s'illuminent.
e cette
? - je demande,
plaît...