L'ATTRAIT DU DIABLE
co
Ce n'est pas une piqûre de moustique. Mon
épaules, yeux verts ternes, teint pâle. Rien n'a changé en quatre ans sauf ça. Cette marque. Cette marque de colè
-t-elle pu arriver ici ? Je garde ma porte fermée la nuit. Pourquoi n'avais-je rien ressenti si quelqu'un m'av
ue hier, j'ai cru que c'était une simple piqûre de moustique. Mais maintenant ça... Et pourquoi diable
bre. Je me lance dans une mission de recherche de mon téléphone. Je ne suis pas une personne sociale ; j'utilise mon télépho
d'un ton professionnel, même si ma
ix secondes, je compte sur mes doi
pour une entreprise depuis deux ans. Je suis bien payée e
née glissée dans mon jean. Pas de maquillage, juste un peu de gloss. Je quitte mon ap
ie dans le rétroviseur que le suçon est bien dissimulé. Oui, tout
.V in
r la marque. Je serre plus fort le volant. Elle n'avait pas à la cache
sé ce suçon, tout comme celui
ns son lit. Comment je me retiens, seul moi le sais. Mais une fois qu'elle sera à port
suite. Mais j'ai préféré jouer un petit jeu. Un jeu que nous allons t
i. Et tu l
s à cett
NDRA -
ment quelques collègues, puis je me rends d
ntre", en espérant que la personne, qui qu'elle soit, n'entende
ut, A
co-gérant,
. Qu'est-ce qui
'a déjà demandé deux fois de sortir. Une fois chaque année. Je s
érieurement à
e, biceps et abdos. Le genre de gars qui fait tourner les têtes. Mais
u veux manger avec moi ? deman
sou
bien la pile de travail
, on déjeune ensemble. Il est le seul a
atron ne te dira rie
rde avec i
travail à temps, je ne participe pas aux commérages et je me mêle de mes affaires. El
Bi
uble. Justin s'occupe de la commande pendant que je nous trouve
te sensation étrange... com
on. Mon cou. Mo
, dans le parc. Un homme. Son visage est caché sous un sweat à capuche.
ue c'est
de Justin, me tirant de m
tout va
le que d'habitude. Et pourta
. Je roule des yeux, lève
faire
ate de
manger, jetant un dernie
est p
ement, vide comme toujours. Je vais m'écrouler sur le can
stait. Mes amis d'université sont introuvables, trop pris dans leur vi
l n'est jam
ex
t toujours là. On dit que le temps guérit. Mais le temps
leurais tous les jours. Il était tout pour moi. Mais ma grand-mère était l
'est jama
t espoir. L'espoir fait avancer, oui. Mais
sur
nom. Alex. Coupé mes cheveux. Teinté mes mèches. Je
uis à aller me coucher. Je vérifie chaque fenêtre, chaque porte.
suis f
es mains cachées dessous. Mon cœur bat
quand, dans un état de semi-c
ible
tre qu'o
corps est lourd. Et sans averti