L'ATTRAIT DU DIABLE
a qua
monde ici portait une robe noire tra
étais d
ôme ce jour-là. J'étais excitée, mais aussi terriblement nerveu
'autres remuaient sans cesse les jambes, et quelques-uns se rongeaient les ongle
andra
ers la scène, priant pour ne pas tomber, ne pas me ridiculiser. Tu connais ce sentiment, n'est-ce
incident. Pas de glissade, pas de chute
rd de la foule. Ils m'ont remis mon diplôme, m'ont serré la main. J'ai p
ages. P
eurs parents. Ma
avais treize ans. Depuis, ma grand-mère m'élevait. Elle éta
s je l
eau d
mon diab
vec une fierté silencieuse et une tendresse évidente. Rien qu'un regard de sa pa
pour mes parents, que je sentais encore présents - les applaudissements ont résonné.
x ne chercha
égèrement incliné la tête vers la porte, un ge
ots avec ceux qui me félicitaient, j'ai reçu quelques
là, appuyé contre un arbre, à l'ombre, jouant avec son nœud p
er K
ut. Mon chevalier en armure noire. Il était à sa manière un p
ce. Il le faisait toujours. C'était comme s'il était
otisant comme toujours. Ses cheveux noirs, sa mâchoire nette, son corps
r dans son regard. Je me suis approchée encore, jusqu'à ce que nos corps se touchen
n doigt froid sous mon menton pour relever mon visage. Il avait toujours les mai
nférieure. Ce geste l'attirait toujours. Ses yeux sont
sistance. Il m'a embrassé comme s'il voulait graver ce moment dans sa mémoi
Il ne semblait jamais avoir besoin d'air. Je t'avais dit qu'il était é
ions. On es
ront contre le
n cadeau
a poche et l'a suspendu devant moi. C'était un pendentif en forme de cœ
i ? ai-je deman
attaché le collier, fermé le fermoir, puis a embrassé lentement ma peau. Je me suis blottie contre lui. Il a enfoui son v
'es sorti ?
e, Lexi, a-t-il grogné,
mais aux autres.
a table pour déjeuner. Il n'avait rien dit, juste observé. Le lendemain, il m'avait réservé une place. Pendant des sema
mme une ombre. Parfois, il se glissait dans ma chambre la nuit... pour dormir. Et parfois po
llait-il se passer ? L
Alex ? Qu'est-ce
senti une alarme sile
me regardait, et dans ses yeux, j'ai vu de
s mains, a soupiré, puis a di
dois
t bloquée. Non. Pas
ce que tu veux dire, partir
ent, mais ne coul
, Lexi ? Je suis désolé. Mais je dois y aller. Ce n'est pas
yeux pleins de douleur. Moi aussi. Je ne
i tu dois
ux pas te
s'est
Pourquoi tu ne peu
s-moi. Je reviendrai. Tu es à moi. Et
tu rev
issé le
e sais
ne pas savoir ? Mes larm
ire par "je ne sais pas"
i regrett
. Il s'est jeté sur moi et
u ce que tu vi
ps me clouait contre l'écorce. Son visage à quelques centimètr
ONDS-
ent cette fois. Sans honte.
ourrais si t
mon visage contre son torse, respirant son odeur. Mes mains se son
me quitter. Je ne
mbrassé, encore. Plus intensément.
ue c'était la
rassé avec désespoir. Mais il s'est libéré de mon e
vers mon oreille
tais, tu l'es, tu le seras toujours. Je
.. il ét
s'il n'avait
and
ne répon
enoux au sol. À pleurer jusqu'à
ait p
de