Monsieur Alpha,C'est à mon tour de vous rejeter
que de la lumière, se pencha légèrement, comme pour m'observer de
magie de ceux qui ont été marqués par le passé
e vérité qui résonnait dans chaque coin de mon esprit. Ce n'était pas juste un pouvoir
mais la question mourut avant
mains, tremblantes au début, s'étaient tendues sans que je m'en rende compte. Et alors, au creu
e moi. Elle se déploya comme une flamme dans l'air, dansant autour de mes bras, comme si elle prenai
C'est en toi. Cette énergie. Ce n'est pas une malédiction, ni une bénédiction
nsifiant à mesure que la lueur dans mes mains se renforçait. Ce n'était plus une simple lumière. C'était un flux, une éner
core. Mais je pouvais la sentir, elle
ma transformation silen
tout détruire, mais elle peut aussi tout
tête, cherch
aire... Je ne savais même
doux. C'était un sourire de compréhension,
durera pas. Tu vas devoir faire face à ce qui vient. Et
ière en moi – tout cela m'enveloppait, me portait. Je n'étais plus seule. Je n'étais plus simplement
plus q
science que je n'étais plus celle que j'avais été. Je n'étais plus une jeune femme désespérée, en fuite, seule face à u
ture s'éloigna dans la brume, me lais
ntenant vibrer, réagir à l'énergie qui m'enveloppait. Le sol trembla légèrement sous mes pieds, mais ce n'était pas un tr
en courbes sinueuses, dansantes, comme une onde qui se propageait dans l'air. La magie m
Mais je savais une chose : il était mien. Et il me mènerait, à travers l'obscurité,
urprise ni crainte. Il se tenait là, à peine plus grand qu'un loup, ses yeux noirs fixant les miens avec une intensité qui m'effleura l'âme. Je n'avais
ancien que tout ce que je connaissais. Ses yeux, aussi sombres que l'abîme, semblaient percer mes
x calme, trop calme, comme si ce n'était
plus grand que ça. Il n'était pas une menace... i
n esprit, lui, se lançait dans une spirale de doutes. Quel enfan
eux, presque douloureux dans son absence d'innocence. Ses lèvres s'étirèr
le savoir », dit-il simplement. « Et
déchira l'air, un hurlement bestial, presque hum
, ses griffes, sa fourrure noire éclatant d'une lueur surnaturelle, tout dans cette créature dégageait une violence pure. Ses yeux, rouges comme des braises, se fixèrent
dans la nuit pour fuir son destin. Non, cette force, cette rage, c'était moi, c'était une autre version de
rps entier réagissaient avec une précision que je n'avais jamais imaginée. J'attrapai une branche tombée au sol, une branche rugueuse et s
retrouvai dans un état de calme absolu, une clarté brutale s'imposant. J'étais prête. Cette
flanc. Elle s'arrêta, un cri de douleur s'échappant de sa gorge, mais au lieu de reculer,
i, froide et tranchante, et pour une fraction de seconde, je m'
propulsant hors de l'atteinte de la bête. Et alors que je courais, je vis le gamin, un étrange cal
te, comme si la menace d'une attaque féroce était une mélodie dou